FAN FICTION SAINT SEIYA

Admin Nombre de messages : 2624 Age : 37 Date d'inscription : 12/03/2008

VIRGO NO SHAKA

I MEDITATION ET RENCONTRE

Un jeune homme blond avançait dans le temple de la Vierge. Un rosaire à la main, des reflets dorés étaient envoyés sur les murs blancs du temple. Shaka venait d’arriver dans sa demeure et marchait le long du couloir qui menait à la place de méditation. Cette salle centrale qui était présentée par deux rangées de colonnes grecques qui menaient directement à une place. En face, contre un mur on pouvait voir en avançant se dessiner un lotus de couleur blanc. Celui-ci était placé sur une stèle, entourée de tentures grenat accrochées au plafond. Derrière le lotus on pouvait voir une imposante statue de Bouddha, elle était ornée de tenture de couleur rouge sombre.

Un instant, le chevalier s’arrêta, écoutant le silence de cet endroit.. Il l’aimait beaucoup, ce temple était son abri, sa protection et sa force en même temps. Un parfum de lotus et d’encens sacrée y régnait continuellement, invitant à la méditation et à la sérénité. Il reprit finalement sa marche, gardant les yeux fermés comme toujours et alla se placer en position du lotus sur ce même objet. Joignant ses mains, un cosmos doré l’entoura. Le saint de la vierge sillonnait son temple pour être sur d’y être seul. Des ennemis de sa déesse pouvait à tout moment vouloir rejoindre le Parthénon, Temple sacré ou depuis sa naissance, en grand secret avait grandit la réincarnation de la déesse. Une seule personne à ce jour avait pu voir le visage de la jeune déesse, le grand Pope. Ce temple était protégé par les 12 maisons du zodiaque, chacune protégée elle même par l’un des 12 chevaliers d’or. Shaka était le 6ième gardien et l’un des plus puissant. Il était considéré comme le plus sage des 12 chevaliers d’or.

Tout prêt du temple de la vierge, une jeune femme portant un masque de chevalier, vêtue d’une fine toge de lin grenat, ceinte à la taille par une ceinture de soie dorée. Les manches de la robe était en faite deux simples voiles rattachés par un anneau en or blanc glissé au majeur de chaque main. Sous le masque était ceint à son front une larme de grenat sur une chaîne d’or. La robe était fendue à mi cuisse du côté droit. Cette toge sculptait son corps de nymphe et dévoilait la naissance de sa poitrine dans un fin décolleté. La jeune inconnue arriva dans les jardins du temple, le vent portait encore les doux pétales de fleurs des arbres jumeaux de Sara. Elle regarda autour d’elle et alla s’asseoir près de la cascade. Ne voyant aucun chevalier à l’horizon, la jeune fille enleva son masque et fit chuter sa robe à ses pieds avant de se glisser dans l’eau en prenant soin de ne pas mouillé ses cheveux tressée de rose bleu. La jeune fille masquait la nature de son cosmos et se mit à chanter de sa voix angélique.

Toujours en position du lotus, Shaka fut distrait de sa méditation par ce chant qui parvint jusqu’à ses oreilles. Il se releva et sans savoir pourquoi il masqua son cosmos et se dirigea dans les jardins près de son temple, là ou trônait les arbres de Sara et se dissimula derrière l’un des arbres en fleurs. Curieux il ouvrit les yeux ce chant l’envoûtait, dés lors que le jeune chevalier l’aperçu, il su d’avance qu’il ne pourrait partir. Il se mit à l’observer en silence, jamais une jeune femme n’avait été aussi belle qu’elle…Sa jeunesse… Sa beauté... sa douceur, toutes ses choses étaient unique chez cette créature divine. Oui car pour lui ce n’était pas un être humain mais une nymphe.

Oui il n’avait jusqu’à présent jamais ouvert ses yeux et là bizarrement il avait été attiré, poussé par cette voix, cette aura à ouvrir ses yeux pour apercevoir cette nymphe gracile. Bien qu’elle soit de dos il ne pouvait dévier son regard de se tableau. La jeune fille se retourna, des mèches masquait sa poitrine, mais en se retournant à demi elle dévoila son visage angélique aux yeux du chevalier de la vierge. Il ne pouvait qu’admirer sa peau laiteuse, son cou gracile, son visage céleste ou était apposée une larme grenat qui semblait contraster à merveille avec la couleur violine des cheveux et des yeux de l’inconnue…. Une douce chaleur se diffusa dans son être et il en ferma les yeux. Il savait bien qu’il n’avait pas le droit d’être là… Ni même de la regarder ainsi, de l’observer à la dérobée. Il se recula voulant quitter se lieu de trouble, mais il marcha sur une brindille tombée de l’un des arbres ou qui sait peut-être avait-elle été portée par le vent. Ce bruit parvint aux oreilles de l’inconnue.

Inconnue : Il y a quelqu’un ?

La jeune fille regarda autour d’elle quelque peu inquiète on ne devait surtout pas la voir mais il n’y avait rien autour d’elle. Personne, mais alors d’où venait ce bruit. Shaka avait eu tout juste le temps de se dissimuler et de ne plus bouger. Voyant que tout était calme la jeune fille sortit de l’eau et se rhabilla rapidement avant de replacer son masque de chevalier sur le visage et de disparaître dans les escaliers traversant les temples. Une fois qu’il ne la voyait plus il rentra dans son temple troublé plus que de raison. En voyant le masque se poser sur son visage il cru qu’elle était un chevalier. Connaissant la loi des femmes chevaliers il savait que de l’avoir découvert ainsi n’était pas permis, Personne n’était censé apercevoir le visage d’une femme chevalier même en secret cela n’était pas permis. Il se dirigea donc vers sa chambre et ouvrit la porte lentement.

En entrant dans sa chambre le chevalier ne pris pas la peine d’ouvrir les yeux, la disposition de sa chambre, son décors il le connaissait par cœur et s’y déplaçait les yeux fermé. Il voyait tout avec son esprit , il n’était nul besoin pour lui d’ouvrir ses deux saphirs pour pouvoir décrire sa chambre. Lorsqu’on entrait dans la pièce, on pouvait voir dans le coin à droite, au fond, divers coussins de soie rouge et or posé sur le sol, un drap de couleur rouge vif brodé d’or au-dessus d’eux et une tenture de tulle rouge sombre l’entourant, laissa une simple ouverture. C’était là qu’il dormait, contrairement aux autres saints, ces simples coussins lui suffisaient, il n’avait pas besoin d’un lit. Dans le coin opposé, il y avait incrusté dans le marbre fin de la chambre, en arc de cercle, un petit bassin d’eau surmonté d’une fine fontaine de jade. On pouvait voir plusieurs poissons indiens nager dans l’eau clair, quelques lotus de couleur rose ou blanc, flottant librement et paisiblement à la surface de l’eau. Près de l’angle de la porte, se trouvait une grande armoire en bois de bambou de couleur corail, celle-ci contenait les vêtements du saint de la vierge. Non loin de la porte sur l’un des murs de la vaste chambre, une porte donnait sur une salle de bain. Le dernier angle de la pièce, situé à droite de la porte, montrait un autel. Un vase blanc était ornée de splendide rose blanche et des encens brûlaient sur leur porte encens . Une fine fumée s’échappait du bâton d’encens et parfumait délicieusement la pièce. Enfin au centre de la pièce était installé un splendide tapis au couleur chatoyante, il habillait le marbre de la pièce et donnait une dimension toute nouvelle à la pièce, la parant ainsi au couleur de l’orient.

Après avoir posé sa cape sur les coussins posé à même le sol dans sa chambre, le jeune homme retira son casque, secouant un peu la tête pour libérer ses long cheveux blond et le posa près de lui. Shaka s’avança vers le petit bassin et s’agenouilla, observant mentalement les poissons nager. Il ouvrit doucement les yeux et tendit la main, il la plongea dans l’eau et en sortit doucement un lotus de couleur blanc, par-dessous. Il observait la fleur, sentant l’eau couler entre les pan de son armure au niveau de sa main. La couleur de la fleur était signe de pureté cela lui rappela à l’esprit la vison de la jeune fille qui semblait si pure et si douce. Il secoua vivement la tête pourquoi ne pouvait-il chasser ses images de son esprit, lui qui ne s’intéressait pas aux jeunes filles et surtout qui n’y connaissait rien aux sentiments et à tout ce qui s’y rapportait. Doucement, il reposa la fleur dans l'eau, il n’avait pas la réponse et pourtant on le considérait comme le plus sage des chevalier. Il est vrai qu’il était toujours enfermé à méditer alors il ne connaissait pas grand chose au relationnel.

A SUIVRE………………

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II UNE VISITEUSE

La jeune créature avait regagné son temple sans se faire remarquer, Elle n’aurait jamais due en sortir. Si le grand Pope l’apprenait elle se ferait sévèrement réprimander. Elle ne paraîtrait aux yeux de ses chevaliers que lors du Bal des 12 signes. Celui-ci était organisé pour célébrer le changement de signe chaque année. Cette année le signe fêté serait celui du Sagittaire, à cette Occasion se serait dans son temple que la fête aurait lieu et par la même le grand Pope souhaitait faire connaître officiellement la jeune déesse à ses chevaliers il était important qu’ils connaissent le visage de celle qu’ils avait le devoir de protéger en tout lieux et en tout temps. Soupirant doucement la jeune fille ôta le masque d’argent ornée d’une rose qu’elle portait sur le visage pour se dissimuler et se laissa tomber sur son lit. Elle en avait marre de ne pouvoir voire personne elle s’ennuyait. Pourtant combien de fois d’une de ses fenêtres elle avait observé ce magnifique jardin entourant la maison de la vierge, des milliers de fois depuis son enfance oui et elle avait regardé évolué le saint de la vierge… Shaka tel était son nom, elle l’avait toujours sans savoir pourquoi trouvé mystérieux peut-être car on ne pouvait jamais apercevoir ses yeux. Elle se demandait bien pourquoi d’ailleurs.

Toute à ses rêveries, la jeune Athéna ne sentie pas l’arriver dans l’avancer du sanctuaire d’une visiteuse céleste. Une jeune femme fit son apparition au pied des 12 temples, elle était vêtue d’une longue robe aussi noire que ses longs cheveux, un lys blanc et quelques fleurs de même couleur ornait sa chevelure juste au-dessus de son oreille gauche. Ses yeux se levèrent en direction du sanctuaire. Ainsi, c’est là que vivait sa jeune sœur, ou plutôt la réincarnation de celle-ci. Son père, Zeus lui même, devait vraiment craindre pour elle si il lui avait demandé de l’aider et d’aider par la même ses chevaliers. Malgré tout, elle restait inquiète. Est-ce qu’une jeune fille de 16 ans serait capable de maîtriser l’immense pouvoir d’une déesse? Elle ne savait pas…..Vraiment pas… Mais elle verrait cela une fois qu’elle l’aurait en face d’elle. Soulevant un pan de sa robe d’une main, elle se dirigea vers les temples et y monta silencieusement, seul le bruit de ses pas sur les marches résonnaient. Tout semblait si calme et les chevaliers eux-même semblait avoir déserté leur maison ce qui étonna la jeune fille comment être sur qu’ils était dignes de protéger sa sœur si ils n’était même pas capable de l’empêcher de la rejoindre. Puis se ravisant elle localisa le cosmos de sa sœur dans le Parthénon et s’y télé porta rapidement apparaissant au milieu de la salle du trône. Elle jugea les lieux qui était très simple mais cela ne l’étonna guère, elle savait sa sœur peu encline à tout ce qui pouvait être superflue. Elle la chercha des yeux et l’appela rapidement.
Déesse : Athéna où es-tu ?

La jeune fille en question sursauta de son lit puis reconnaissant le cosmos de la déesse de la nuit, de sa sœur tout du moins la sœur de celle dont elle «était la réincarnation elle se précipita dans la salle du trône. Et souris quelque peu surprise que venait faire une déesse du Mont Olympe ici. Il n’y avait pourtant pas de menace du moins elle n’en avait ni entendue parlé ni ressentie une.

Athéna : Astrée… Que fais-tu en ses lieux… Non pas que je sois contrariée de te voir mais je ne m’attendait pas à la visite d’une déesse de l’olympe en mon temple.

Lorsqu’Astrée vit la jeune fille entrer elle la détailla et sourit doucement chacune de ses réincarnation avait le mérite d’être assez proche de son ancien corps mais ce n’était pas ça qu’elle était venue voir mais belle et bien pour connaître un peu mieux cette jeune fille et savoir si elle était digne de sa tâche. Il n’était aucun doute qu’en temps que réincarnation de la déesse de la sagesse elle soit à la hauteur mais elle restait néanmoins très inquiète après tout elle n’avait que 16 ans et à cette âge là on ne peu pas dire que la sagesse soit quelque chose d’acquis.

Astrée : Athéna enfin sa faisait longtemps… Hé bien à vrai dire je suis venue prendre des nouvelles à la demande de Père et aussi parce que….

Athéna : Je vois tu étais inquiète à mon sujet.

Astrée : En effet on ne peu rien te cacher.

Athéna sourit et prenant sa sœur par la main l’emmena s’asseoir pour discuter tranquillement elle était heureuse d’avoir de la compagnie pour une fois. L'air de la déesse de la nuit semblait froid comme une nuit d'hiver et inhumain comme le loup blanc. Mais Athéna le connaissait bien et savait que ce n’était qu’une apparence, une protection en quelque sorte. Elle savait fort bien qu’il ne fallait pas s’y fier car ce n’était qu’un masque.

Athéna : Tu n’as pas de soucis à te faire je ne peu pas quitter ce temple sur ordre du grand Pope et j’avoue que je m’ennuie cruellement à attendre ici toute seule.

Astrée : Si il te l’interdit c’est pour ton bien et ta sécurité mais te connaissant je suis sur que tu es sortie et pas plus tard qu’aujourd’hui.

Athéna se renfrogna comment diable sa sœur arrivait-elle à tout savoir. En plus elle allait encore lui faire la leçon comme si elle n’était encore qu’une enfant. Astrée en voyant la mine renfrogner de sa sœur soupira un peu d’indignation une telle attitude de sa part n’était pas très digne mais bon en même temps elle restait une jeune fille de 16 ans il ne fallait pas être trop dur avec elle.

Astrée : Ecoute-moi Athéna je ne veux plus que tu sorte c’est dangereux en plus tu aurais pu te faire voir…Tu dois patienter jusqu’au Bal des 12 signes avant de pouvoir circuler ici librement alors reste tranquille fais moi plaisir.

Athéna : … Très bien je resterais ici et ne sortirais pas avant cette fameuse journée mais je m’ennuie à mourir moi.
Astrée soupira sa sœur était intenable par moment ceci dit elle comprenait qu’elle puisse s’ennuyer après tout elle n’avait pas encore officiellement pris ses fonctions de déesse donc elle ne faisait rien. Ceci dit elle devait prendre conscience que son statut devait être la chose la plus importante et la plus primordiale qui soit. Elle protégeait la terre et de se fait si il lui arrivait quoique se soit celle-ci serait condamnée elle ne pouvait donc pas agir inconsidérément comme le ferait une jeune fille de 16 ans. Elle devait agir comme une déesse.

Athéna : Tu ne voudrais pas rester ici avec moi quelque temps au moins.

Devant la demande de sa sœur Astrée ne pue réprimer un sourire finalement c’était la solution la plus préférable pour s’assurer qu’elle soit en sécurité et au moins elle aurait un œil permanent sur elle.

Astrée : Je reste de toute façon j’étais décidée à rester quelques temps ici pour rassurer père il se fait énormément de soucis pour toi. Avec tout ce qui se passe ses derniers temps je peu le comprendre.

Athéna : Que se passe-t-il de si important ?

Astrée : Eh bien il à un mauvais pressentiment et il pense que des évènements funeste ne vont pas tarder à voir le jour sur terre.

Athéna (songeuse) : Si père le ressens aussi c’est que je ne me suis pas trompée alors…

A SUIVRE………….

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III PRELUDE AU RENCONTRE

Astrée : Si je comprends bien toi aussi tu as ressentit un présage alors père ne s'était pas trompé il va falloir être vraiment sur nos gardes dés à présent. Athéna je vais rester ici pour t'aider cela ne me plait guère si toi aussi tu le ressens on ne sera pas trop de deux pour y faire face et père sera plus rassuré.

Athéna (souriant) : En effet on ne sera pas trop de deux déesse et puis j'avoue que sa me rassure de te savoir avec moi. Vu que tu comptes rester laisse moi t'amener à ta chambre.

Astrée : Très bien., je te suis.

Athéna : allons-y.

Elle fit signe à sa soeur de la suivre et l'emmena jusqu'à la chambre qui était juste à côté de la sienne. Elle poussa la porte et y entra avec sa s½ur.

Athéna : Voilà J'espère qu'elle te conviendra

Sa soeur jugea la pièce qui était peu décorée mais qui semblait tout de même chaleureuse. De toute façon elle pouvait la redécorer à sa guise si jamais elle ne lui convenait pas mais pour l'instant elle était parfaite.

Astrée : Non elle est parfaite Athéna sa ira très bien rassure-toi.
Athéna : Tant mieux alors. La mienne est juste à côté au cas où que tu es besoin de quelque chose. Si tu veux te reposer un peu je vais te laisser je compte sur toi pour venir au bal avec moi se soir.

Astrée : Bien sur que je viendrais avec toi Athéna et je vais me reposer un peu mais toi n'en profite pas pour quitter le temple d'accord.

Athéna : Je resterais dans ma chambre c'est promis.

Elle referma la porte de la chambre de sa soeur et entra dans la sienne. Elle alla à sa fenêtre et regarda les jardins ou trônait les arbres jumeaux de Sara. Elle vit le chevalier de la Vierge venir méditer et rougit doucement il était tellement différent des autres et très mignon elle devait le reconnaître.

Athéna(en pensée) : Il est si mystérieux et en même temps il est considéré comme le chevalier le plus sage et le plus pure qui soit. Il est la réincarnation de Bouddha et passe tout son temps à méditer pourtant j'avoue que cela m'intrigue. Je devrais penser à autre chose se soir je serait officiellement présentée par Shion et je pourrait circuler librement il faudra que je parle à Shaka rapidement il pourra sûrement nous éclairer sur les événement qui approche si toutefois il à pue les percevoir lui aussi.

De son côté Astrée était à la fenêtre de son temple rêvassant, elle se demandait si c'était une bonne chose pour elle de se mêler au chevaliers de sa soeur, en même temps elle était là pour assurer la protection de sa s½ur et l&'aider du mieux qu'elle pouvait. Elle n'allait tout de même pas la laisser aller seul au bal des douze signes sachant que les pressentiments de son père avait été ressentie par Athéna elle même.

Astrée (en pensée) : Elle est si jeune et si inconsciente par moment de ce qui se déroule à l'Olympe ou ailleurs je ne peux pas la laisser seule ainsi alors qu'lle risques d'être en danger dans très peu de temps. Et puis quelque chose me dit que je ne serais pas de trop j'espère juste que Poséidon, Hadès, Abel ou même encore Lucifer ne se réveilleront pas avant qu'elle n'est mûrit un peu. Elle à beau être consciente de sa tâche et être volontaire cela ne suffira pas et si elle se faisait tuer la terre serait perdue.

L'heure du bal arrivait à grand pas. Dans sa chambre Athéna se vêtit d'une splendide toge antique d';un blanc pure, celle-ci était attachée sur son épaule droite par une broche en or blanc, l'un des morceaux de la toge retombait pour se poser sur son bras droit. Elle enfila des sandale dorée avec de fin talon maintenue sur ses chevilles par des rubans d'or. Elle releva ses cheveux en chignon piqué de rose blanche où un splendide lys blanc se mélangeait à elle. Quelques mèches blondes retombaient sur ses épaules encadrant ainsi son visage. Elle se mis un peu de rose sur ses lèvres et du noir sur ses yeux. Elle posa son loup de velours noir brodé d'or et d'argent sur son visage tout comme celui de sa soeur là seule légère différence résidait dans le fait que le sien portait un motif de rose rouge dessus. Elle sortit de sa chambre et frappa à la porte de sa soeur.

Athéna : Astrée tu es prête c'est l'heure !

Astrée : J'arrive Athéna.

Astrée sortit vêtue comme à son habitude d'une longue robe noir et de rubans fixé le long de ses bras. Des lys blancs ornant ses cheveux de couleur sombre contrairement à sa jeune soeur qui était blonde du moins dans cette réincarnation-ci. Elle portait un loup de velours noir brodé d'or et d'argent. Elle jugea la tenue de sa soeur et esquissa un léger sourire avant de reprendre son masque froid. Sa soeur était égale à elle même tant en beauté qu'en parole elle s'en rendait bien compte elle s'inquiétait sans doute trop pour elle mais l'avenir le lui dirait.

Astrée : Nous pouvons-y aller Athéna.

Athéna : Oui.

Elles s'avancèrent calmement et s'arrêtèrent au temple du grand Pope qui était le dernier barrage avant son temple. Athéna fit signe à sa soeur de l'attendre à l'entrée et passa la porte pour rejoindre la grande salle ou trônait le Grand Pope, Shion.

Athéna : Shion... Ma soeur Astrée va rester avec nous quelque temps je voulait vous prévenir et elle nous attends à l'entrée. C'est l'heure de rejoindre les autres dans la maison du Bélier.

Shion se leva calmement et rejoignit la jeune femme. Il s'inclina et baisa la main de sa déesse respectueusement.

Shion : Athéna... Vous êtes toujours aussi belle. Je vous remercie de m'avoir prévenu, allons-y il ne faut pas faire attendre vos chevalier ainsi que votre soeur.

Athéna (sourit) : Merci Shion.

Shion lui prenant le bras l’emmena jusqu'à la porte rejoignant Astrée. Tout trois descendirent les marches, temple après temple jusqu'à arriver au dernier temple, celui du Bélier. La fête avait déjà commencé et ils l'entendaient depuis l'extérieur.

Shion : Suivez-moi déesses.

Athéna et Astrée : Bien. Nous vous suivons.

Shion avait Athéna à son bras et Astrée tenait la main libre de sa s½ur. Alors qu'ils faisaient leur entrer dans le temple, dans un coin de la maison d'or du Bélier se tenait le saint de la Vierge qui conversait avec le saint du Bélier. En sentant le cosmos de son ancien maître qui était à présent le grand Pope du sanctuaire, Mü et Shaka ainsi que les autres chevaliers se tournèrent vers celui-ci. Astrée et Athéna avait masquée leur cosmos sur les conseils de Shion et était encore dans l'ombre invisible des autres chevaliers.

Mü : Bonsoir mon maître... Bienvenue en mon temple. Athéna n'est point avec vous ?

Shion sourit il se doutait que tout les chevaliers était impatient de découvrire' leur déesse. Il se pencha vers Athéna et lui dit quelques mot à l'oreille. Celle-ci opina de la tête et jetant un ½il entendu à sa soeur toute deux sortir de l'ombre, Shion tenant toujours Athéna. Un murmure de stupéfaction et de surprise se fit entendre pourquoi y avait-il deux jeunes filles et pourquoi étaient-elles masquées.

Shaka avait comme à son habitude les yeux fermé mais entendant les murmures des autres il ouvrit les yeux son regard se posa tout d'abord sur la jeune fille légèrement en retrait qui tenait la main de l'autre, elle était plutôt belle et en jetant un oeil à Mü il vit qu'il semblait hypnotisé par celle-ci. Shaka sourit puis son regard alla à la jeune fille dont Shion tenait respectueusement la main, il fut paralysé et rougit vivement ce qui était rare chez lui avant de se contrôler pourtant il ne la quittait pas du regard il l'avait reconnu s'était bien elle l'inconnue.

Shaka (en pensée) : Si c'est bien ce que je crois il se pourrait que j'ai surpris la déesse ce jour-là dans les jardins...

Shaka et Mü étaient hypnotisés par les deux jeunes déesses. Elles aussi à l'instant qu'elles avaient posée s leur yeux sur eux n'avait pue les défaire.

Shion : Je vous présente la déesse Athéna ainsi que sa soeur la déesse Astrée.

Athéna et Astrée reprenant contenance se regardèrent puis enlevèrent en même temps leur loup révélant leur visage aux chevaliers d'or qui ne les quittaient pas des yeux. Tous avait compris à cet instant lorsqu'elles avaient laissées leur cosmos apparaître que celle dont Shion tenait la main était leur déesse...

A SUIVRE......

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IV UNE VALSE... UN REVE?

Alors que les deux sœurs s’étaient montrées, ôtant leur loup de velours noir, elles parcourir les quelques mètres qui les séparaient du lieu des danses toujours accompagnée de Shion qui n’avait pas lâchée Athéna. Mü sortant de sa torpeur regarda Shaka qui semblait vraiment comment dire plus que mal à l’aise et en même temps hypnotisé par la beauté envoûtante de sa jeune déesse. Son frère d’arme lui donna un léger coup de coude pour le faire réagir le voyant vraiment perturbé et lui murmura.

Mü : Hey ! Shaka tu vas bien ? Tu sembles complètement affolé et totalement ailleurs.

Shaka (sortant de sa torpeur un peu brusquement) : euh… oui…. Oui sa va… enfin pas vraiment…

Mü : Comment ça ?

Shaka : Tu te souvient que je t’ai parlé que j’ai surpris une inconnue masquée au lac près du temple…

Mü : Oui je m’en souvient où veux-tu en venir.

Shaka : Cette jeune fille… s’était Athéna.

Mü : QUOIIIIIII !!!!

Shaka sursauta et lui fit signe de se taire mais tous déjà regardait vers eux.

Mü : Pardonnez-moi ce n’est rien poursuivez.

Mü (à Shaka) : Tu as vu Athéna…. Tu es bien sur de ça.

Shaka : Oui s’était-elle il n’y à aucun doute… Si elle le savait je doute qu’elle serait ravis de s’être fait surprendre ce jour là.

Mü : Le mieux est que tu n’en parle pas si tu ne tient pas à avoir de problème.

Shaka : Je sais bien… Le pire c’est que j’avais les yeux ouvert je me demande encore ce qui m’est passé par la tête ce jour-là.

Mü (souriant) : Evite de trop pensez à ça on devrait plutôt aller danser.

Shaka : Avec qui ? Tu sais bien que Marine et Shaïna n’aime guère danser.

Mü fit signe à son compagnon en direction des déesses Shaka le regarda comme si il avait perdu la raison.

Shaka : Tu as perdue la raison ? Les déesses n’accepterons jamais et puis… Je n’oserais jamais allez le lui demander.

Mü sourit de voir Shaka réagir ainsi mais il ne voyait jamais personne et les relations avec les filles il ne les connaissaient pas. Enfin il changerait bien il fallait le pousser et Mü était décidé à le faire.

Mü : Allez c’est une bonne manière de la saluer et de l’approcher et si tu ne te dépêche pas les autres le feront.

Disant cela les chevaliers semblaient s’approcher des déesses. Shaka voyant ça avança calmement jusqu’à Athéna qui se tenait entre Astrée et Shion et s’inclinant face à elle il tendit sa main sans un mot la regardant de ses yeux azurs. Athéna fut étonnée et ses joues rougire imperceptiblement mais cela n’échappa pas à Astrée qui lui fit signe d’y aller tout comme Shion qui posa délicatement la main de la déesse dans celle du saint de la Vierge. Alors qu’elle suivait Shaka elle vit sa sœur se faire amener sur la piste de danse par le Saint du Bélier elle sourit. La musique se fit entendre et une valse débuta. Shaka et Mü entraînait les deux déesses aux rythme de la musique celle-ci évoluaient avec grâce dans leur bras leur regard accrochant ceux de leur cavalier.

Shaka : Vous êtes ravissante altesse… et vous dansez divinement bien.

Athéna (souriant) : Merci… Shaka vos paroles me touche.

Il lui fit alors le plus doux des sourires, Athéna sentit son cœur s’emballer sans prévenir et ses joues rougires sans qu’elle ne puisse rien y faire. Shaka sourit de sa gène mais n’en dit rien ne voulant pas la gêner davantage.

Shaka : C’est votre première sortie de votre temple non ?

Athéna (rouge) : euh…. Oui… si on veut… il m’est arrivé de désobéire à vrai dire.
Shaka : Le plus important est qu’il ne vous soir rien arrivé Athéna.

Mü : Est-ce de famille chez vous que les jeune femmes soit si belle ou n’y a-t-il que vous et Athéna à en avoir hérité déesse Astrée.

Astrée se sentie rougir sous le masque froid qu’elle laissait paraître et dit peut-être plus froidement qu’elle ne l’aurait voulu mais non sans douceur.

Astrée : Il est vrai que ma jeune sœur est très belle mais ce n’est pas de famille et je ne pense pas l’être.

Mü : Pourquoi vous dévaloriser Astrée je ne dit que la vérité, sachez qu’un Saint d’Or ne connaît en aucune façon le mensonge alors vous pouvez croire en ses mots.

Astrée ne répondit rien à cela se laissant guider par son cavalier d’ailleurs elle se demandait encore pourquoi elle avait acceptée mais la raison lui revint en tête, elle n’avait pu se défaire de son regard posé sur elle depuis son arrivé. Elle jeta un coup d’œil vers sa sœur qui valsait aisément entre les bras de Shaka. Rassurée de voir que sa sœur s’amusait elle se reconcentra ou presque sur sa situation plus particulièrement sur son cavalier au long cheveux violet.

Astrée : Puis-je connaître le nom de mon cavalier.

Mü (souriant) : Bien sur Astrée je suis Mü le chevalier d’Or du Bélier au service de votre jeune sœur Athéna.

Astrée : Et le chevalier dansant avec Athéna s’appel comment ?

Mü : Hé bien c’est le plus sage d’entre nous le chevalier d’Or Shaka de la Vierge. Mais pourquoi toute ses questions craindriez-vous pour votre sœur ?

Astrée : Je sais qu’elle ne craint rien de vous mais… Je la connaît très bien et je sais d’expérience qu’il faut se méfier même lorsqu’il n’y a rien à craindre je ne voudrais pas qu’elle souffre inutilement vous comprenez.

Mü (surpris) : Mais Shaka ne lui fera rien je ne vous suis pas.

Astrée se rendant compte de sa bévue secoua la tête.

Astrée : Pour le moment non…. Enfin laissez ça je suis sans doute trop protectrice envers elle.

Les dernière paroles de la déesse restait en tête du chevalier du Bélier que craignait tant Astrée puis regardant l’autre couple évoluer ; il sembla comprendre en voyant l’éclat qui illuminait les yeux des deux jeunes gens. Son sourire se teinta de tristesse imperceptiblement ils allait devoir surmonter des épreuves si jamais ce qu’il voyait s’avérait exacte.

Mü (en pensée) : Prend garde à toi Shaka… mon frère… ton regard parle pour toi… Ne te perds pas dans ce doux tourment tu risquerais de t’y perdre et d’y perdre aussi notre déesse… Il est dommage que ton cœur s’éveille envers Athéna mais je ne peu pas te blâmée elle est si belle vous risquez pas mal de souffrance mais après tout on ne commande pas à son cœur….

Astrée (en pensée) : Athéna je t’en pris ne rêve pas trop garde les pieds sur terre et ne te laisse pas prendre au piège des sentiments où tu en souffrira… tout comme moi par le passé je ne veux pas que tu ais à passer par là où je suis passée moi même… Tu pourrais bien t’y perdre… Mais n’est-il pas déjà trop tard. Oh ! ma chère sœur nus avons tout partagé durant l’enfance… du jour de notre naissance jusqu’à ce qu’on nous attribut notre titre de déesse et qu’il ne te failles allé sur terre… J’espère que ses peines qui m’ont marquée ne t’atteignent jamais je ne voudrais pas te voire t’y briser ma petite rose de cristal.

Mü : Vous allez bien Astrée ? Vous semblez perdue dans les méandres de vos songes.

Astrée : Non je vais bien.

Shaka entraîna doucement la jeune fille dehors et la mena jusqu’eau jardin de la maison de la vierge, la ou s’élevait les arbres jumeaux de Sara. La lune semblait de la fête et entourait les jeunes gens de ses rayons.

Shaka : Vous n’avez pas froid princesse Athéna ?

Athéna(rouge) : Non rassurez-vous Shaka, il fait très doux dehors.

Il lui sourit et sans lâcher sa main l’emmena s’asseoir contre les arbres personnes ne semblait avoir vu leur départ sauf peut-être….

A SUIVRE….

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V VIVRE UN REVE?

Alors que la fête battait toujours son plein, et que au milieu des danseurs évoluait encore Mü et Astrée, Shaka avait mené Athéna dans ses jardins privé et s’y était assis sous les arbres jumeaux de Sara qui les protégeaient du froid de la brise d’été. Il n’avait pas pu lâcher la main de sa déesse qui ne chercha même pas à retirer sa main de celle de son jeune chevalier. Elle regardait le magnifique jardin en silence près du jeune homme. Cette soirée lui semblait être un doux rêve elle était consciente tout comme sa sœur que cette journée ne se reproduirait pas à l’infinis par les temps qui court mais surtout qu’elle ne devait pas trop s’attacher à ses jeunes chevaliers sous peine d’en souffrire. Tout ça elle le savait mais elle vivait un tel rêve qu’elle ne voulait pas y penser sur l’instant c’était sûrement inconscient de sa part. Shaka ne détachait pas ses yeux de sa compagne et il n’avait pas le courage de les refermer depuis qu’il l’avait aperçue se jour-là il avait sue même si s’était interdit qu’il ne pourrait se défaire de son image. Il se réprimanda intérieurement.

Shaka(en pensée) : Mon pauvre Shaka… voilà ce qu’un homme s’attache à son complément une femme… il ne peut plus l’oublier. Dire que l’on me considère comme le plus pur et le plus sage des chevaliers que dirais les autres en me voyant ainsi avec la déesse. Je dois perdre la tête ce n’est pas possible autrement. Où alors c’est que je suis….

Il secoua doucement la tête pour se redonner une contenance ce n’était pas possible il ne savait pas ce que s’était et ne l’avait jamais connue alors comment pourrait-il savoir si s’était sa ou non. Peut-être devrait-il en parler avec la déesse après tout elle était d’une grande sagesse mais il ne pouvait l’embêter avec quelque chose d’aussi futile que cela surtout que sa la concernait et que se serait lui manquer de respect peut-être. Non décidément il ne voyait pas quoi faire. Mü pourrait sûrement l’aider à y voire plus claire mais s’était risquer tout de même si s’était bien ça que ferait-il ? Il n’était qu’un humain malgré son statut de demi-dieu et elle s’était une déesse et l’une des plus belle qu’il n’est jamais vue… la plus belle femme du reste.

Athéna : Shaka ? Vous allez bien vous semblez pensif voir rêveur.

Elle lui sourit doucement mais cela l’inquiétait elle avait un peu resserrée l’étreinte de leur main comme pour le faire réagire. A la pression de cette main sur la sienne et au son de la douce voix de la jeune fille, Shaka sortit de ses pensés et lui sourit elle était si belle ainsi baignée dans la demi-clarté de la lune un sourire posée sur ses lèvres ressemblant au pétale d’une rose fraîchement baignée dans la rosée matinal. Voilà qu’encore une fois il se perdait dans sa contemplation il allait finir par agir de façon peu réfléchie il fallait qu’il reste calme mais étrangement face à elle il ne le pouvait pas.

Shaka : pardonnez-moi Athéna je songeais juste qu’on était partit sans prévenir votre sœur et Shion pourrait s’en inquiéter… (en pensée) je ne peux tout de même pas lui dire en face ce qui me perturbe… sa serait lui faire un affront vu que je ne suis sur de rien.

Athéna : Oui… mais je suis sur qu’ils n’ont pas remarqué notre absence et puis ma sœur est occupé avec Mü alors elle ne s’inquiètera de rien et puisque vous êtes avec moi je ne risque rien.

Shaka(souriant) : En effet tant que je suis avec vous vous ne risquez rien princesse.

Il remonta doucement la main d’Athéna vers son visage et embrassa doucement sa paume. Athéna fut surprise et rougit face à se geste elle ne connaissait vraiment rie au rapport avec les hommes à part les rapports qu’elle avait entretenu avec son frère Abel, il était bien le seul de ses frère qui passait du temps avec les petites jumelles du Panthéons. Elle sourit à se souvenir s’était si loin ses souvenirs combien de fois s’était-elle réincarné elle ne savait plus mais pas une fois auparavant elle n’avait éprouvé ce sentiment du moins elle ne s’en rappelait pas. Sortant de ses souvenirs elle contempla quelques instants son compagnon puis se replongea dans la vison des jardins au clair de lune.

Athéna : Vos jardons sont magnifique…. Que se soit en plein soleil ou lorsque la lune les éclaires de ses rayons.

Shaka (Surpris) : Vous y êtes déjà venu ?

Athéna (gênée) : Non… mais enfin… La fenêtre de ma chambre donne sur vos jardins et lorsque la brise se lèves elle porte jusqu’à mon temple les pétales des fleurs parfumées des arbres jumeaux de Sara. Il m’est souvent arriver d’observer le calme de ses jardins lorsque j’avais besoin de calme et de sérénité…

Shaka ayant compris ce que cela sous-entendait sourit doucement ainsi elle observait ses jardins donc elle l’avait observé lors de ses méditations. Que devait-il comprendre de part sa gène et ses paroles y avait-il seulement quelque chose à comprendre au vu de ses réactions après tout il se pouvait qu’elle soit juste un peu intimidée, elle qui ne voyait que Shion jusqu’à cette soirée. Il pouvait bien se tromper sur le pourquoi et le comment, après tout il ne la connaissait que depuis peu et elle semblait contrôler son cosmos ce qui ne pouvait pas lui donner d’indication sur l’état dans lequel elle se trouvait à part ses rougeurs visible sur le visage.

Shaka : Ne soyez pas gêné je suis plus tôt heureux que mes jardins vous plaisent il est vrai qu’ils sont superbe et c’est là que je peux méditer la sérénité qui y règne est idéale pour moi. Si il vous plaise tant et si Shion vous en donne la permission… Vous pouvez venir ici quand bon vous semble Athéna.

Athéna le regarda surprise mais très contente elle pourrait ainsi venir le voir tant qu’elle voulait.

Athéna : Merci c’est très gentil Shaka.

Shaka : Mais de rien Athéna… Voulez-vous… en faire le tour ?

Il sourit et se leva en voyant qu’elle était d’accord. Il l’aida doucement à se relever puis la tenant toujours pas la main l’entraîna faire le tour des jardins de le Vierge. Athéna se sentait bien ici avec lui au point d’en oublier qu’on pouvait les chercher dans la salle.

Pendant ce temps dans la salle Astrée s’arrêta de danser en ne voyant plus sa sœur. Elle jeta un œil vers Shion mais il lui fit comprendre que sa faisait un moment qu’il ne l’avait plus vu. Mü fit de même puis comprenant qu’Athéna et Shaka n’était plus dans son temple il sourit doucement.

Mü : Ne vous inquiétez donc pas il ne peu rien lui arriver elle est avec Shaka. Mais si vous voulez la rejoindre je sais où il la emmené nous pouvons y aller mais c’est à vous de voir Astrée.

Astrée : Allons les rejoindre je lui avait pourtant dit de ne pas s’éloigner mais comme d’habitude elle n’en fait qu’à sa tête.

Mü sourit elle était très protectrice avec sa sœur apparemment cela ne collait pourtant pas avec ce caractère froid et glaciale qu’elle se donnait face aux autres. A cet instant il se dit que seule Athéna devait connaître sa véritable personnalité puisqu’elle abaissait ses barrières avec elle.

Mü : Dans ce cas suivez-moi nous y allons.

Il lui présenta son bras qu’elle pris sans un mot et il sortirent de la maison montant les marches qui les conduisaient au temple du Taureau qu’ils devait traverser pour pouvoir rejoindre celui des Gémeaux jusqu’à arriver à la 6ème maison du zodiaque, celle de la vierge. Ils y entrèrent mais n’y voyant personne Mü se dirigea vers les jardins de la demeure, au loin d’eux Athéna et Shaka marchait main dans la main et n’échangeait pas un mot.

Mü : Regardez ils sont là-bas.

Astrée regarda et vit sa sœur qui semblait très heureuse ce qu’elle craignait semblait se produire mais pourtant elle la savait ou du moins la croyait assez sage pour mettre fin à se rêve d’elle-même. Mais elle ne pouvait lui en vouloir elle aussi inconsciemment voulait que cette journée dure toujours. S’était toujours ainsi elle se connaissait par cœur du moins avant qu’on ne les sépares mais pourtant malgré la distance elle se ressemblait toujours autant.

Astrée (en pensée) : Amuse toi après tout profite de cette soirée elle ne se répètera pas et tu le sais pourquoi t’empêcherais-je de vivre ce rêve au nom de quoi puisque sa ne restera qu’un rêve à jamais irréalisable de part votre rang. Aimer un mortel nous est interdit j’espère juste que le temps de cette soirée tu ne te sera pas trop attaché à ton beau chevalier Athéna… Amuse-toi avec lui si tu veux mais je te ris ne t’attache surtout pas à lui !

Mü : Allons-nous les rejoindrent ?

Astrée : Non c’est bon… Allons faire nous même un tour si ma compagnie ne vous gène pas trop.

Mü (souriant) : Non pourquoi une si charmante compagnie me poserait-elle des problèmes.

Astrée qui cette fois rougit baissa les yeux pour qu’il ne le voit pas mais il releva doucement son visage et approchant doucement ses lèvres de celle de la déesse il les effleura doucement. La jeune déesse ne savait que faire sur le moment elle ne bougea pas. Elle n’avait jamais ni été embrassée par un homme ni été ne serais-ce qu’enlacée ainsi par l’un d’entre eux ! alors quand à imaginer qu’elle ai déjà fait certaines choses…..C’était impensable, Astrée n’y connaissait absolument rien, mais le plus grave était que si son esprit restait lucide, malgré son trouble grandissant, son corps étant celui d’une femme réagissait au contact de celui du chevalier et refusait de se décoller de celui-ci. Elle était vraiment perdue. Mais elle fut surprise en le sentant la ceinturer pour la coller complètement contre lui avant que ses lèvres ne prennent les siennes avec plus de douceur , son cœur manqua un battement à ce contact. C’était si doux elle n’avait jamais ressentis ça auparavant. Mais elle devait y mettre fin et vite où ils se blesseraient tout d’eux pourtant elle n’en avait pas la force ce fut Mü qui doucement ce détacha d’elle en replaçant avec douceur une mèche brune derrière ses oreilles. Aucun des deux ne parla après ça ils restaient là à se regarder le visage d’Astrée ne laissait paraître nullement son état de trouble et il en était de même pour son cosmos.

A SUIVRE…

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VI LA FIN D'UN REVE... QUESTIONEMENT?

Shaka entraînait avec lui Athéna sans parler le simple fait d’être avec elle était déjà bien doux pour lui, étrangement d’ailleurs il ne comprenait pas pourquoi il devait avouer que jusqu’à présent sa ne lui était jamais encore arrivé. Il ne voulait pas lui en parler se soir autant que la soirée finisse comme elle avait commencée peut-être que plus tard il lui demanderait conseil mais en attendant il se devait de ne rien laisser paraître.

Astrée : On devrait les laissez… Je vais vous laissez moi même je suis épuisée.

Mü : Je comprends. Je vous raccompagne venez.

Mü la raccompagna et la laissa après un baise main avant de rejoindre sa demeure. Il restait pensif de ce qu’il avait osé faire à la déesse pourtant il ne regrettait en rien son geste. Il se rappela de la sensation qu’il avait eu en voyant Athéna et Shaka ensemble, il sourit à cette idée c’était encore plus improbable que lui et la déesse Astrée.

Mü (en pensée) : Pourquoi faut-il que même niveau sentimentale sa ne tourne à la complication pour moi comme pour toi Shaka… Je te plaint d’autant plus que tu es amoureux de celle que tu dois protégé. Tout semble si compliqué à présent… Voilà qu’en l’espace d’une soirée nous risquons fort de plongé dans un abyme profond tout du moins s’en rapprocher fortement parce qu’elles ne sont pas pour nous si on en croit les rangs… T’es-tu seulement rendu compte du lien qui semble s’être créé entre vous en l’espace d’une soirée… C’est ça que l’on doit appeler coup de foudre je suppose…

La fête s’était finit et tous avait regagné leur maison, Shaka voyant qu’il était si tard savait que cette soirée de rêve devait prendre fin et qu’il lui fallait la laisser retourner dans son temple à présent.

Shaka : Venez je vais vous raccompagner à votre temple il est très tard à présent… Et Shion n’aimerait pas trop que vous restiez dehors plus longtemps princesse.

Athéna : Oui… vous avez raison il me faut rentrer…

Il la pris doucement par la main et la ramena à son temple. Une fois devant celui-ci il embrassa le creux de la paume de la jeune fille puis l’attirant doucement contre lui il effleura ses lèvres des siennes tendrement avant de s’écarter un peu troublé de son propre geste sans réellement le montrer.

Shaka : Bonne nuit princesse…

Athéna (rêveuse) : Bonne nuit chevalier…

Elle disparut dans son temple et entra dans sa chambre. Une fois la porte fermée elle fit chuter sa toge à ses pied et se glissa dans un bon bain chaud parfumé à l’essence de rose et de lotus. Une main effleurant ses lèvres elle rougit en se rappelant de la douceur des lèvres de Shaka. Elle rêvassa un moment dans son bain avant dans sortir et d’aller se coucher dans ses draps de soie blanc. Elle dormit d’un sommeil de juste tout comme Astrée. Un rêve s’était terminé à la fin de cette soirée pourtant bien qu’elles savait toute d’eux qu’il ne fallait pas s’y accrocher sous peine de ne pas en sortir indemne, elle ne pouvait cacher ce que leur cœur osait espérer.

De son côté Shaka rentra dans son temple puis dans sa chambre. Il se changea enfilant un simple pantalon de lin blanc pour la nuit et se dirigea les yeux fermé vers l’endroit ou était positionné sa couche. Il s’y allongea rêveur et troublé par cette soirée et la sensation étrange que lui avait procuré le contacte des lèvres fruitée de la jeune femme. Un fin sourire étira ses lèvres ; depuis qu’il l’avait vu s’enfoncer dans son temple le jeune homme avait de nouveau fermé les yeux. Il ne les ouvraient que pour elle étrangement.

Shaka (en pensée) : Comment ais-je pu en arrivez là… Toi aussi Mü tu es dans la même situation enfin peut-être que toi tu sais ce que tu as… On dit de moi que je suis le plus sage mais jamais je n’ai connu ce sentiments comment en connaître le sens…
Il faudra que je lui parle même si c’est risqué j’ai besoin de son aide pour éclaircir ses sensations j’espère juste ne pas l’ennuyer avec mes questions.

Shaka s’endormit pour une nuit calme et douce bercée par cette soirée de rêve passé au côté d’un ange, d’une déesse… Athéna. A l’aube il se réveilla et enfila ses habits de sous armures composé d’un haut sans manche et d’un pantalon en toile tout deux de couleur violet. Il sortit dans ses jardins pour aller méditer et aussi pour tenter de mettre au claires ce qu’il ressentait. C’était lors de ses méditations qu’il parlait avec Bouddha et qu’il pouvait plonger au cœur du problème afin d’en trouver la solution. Mais là il avait beau chercher il ne trouvait pas il lui fallait les sages conseils de sa déesse mais s’était tout de même délicat.

Il envoya un message mentale à Athéna lui demandant de le rejoindre lorsqu’elle le pourrait en son temple, il avait besoin de son aide pour un sujet important. Il se releva et rentra dans sa maison pour patienter, il pris la direction de sa chambre et s’avança vers le petit bassin ou il s’agenouilla, observant mentalement les poissons nager. Il ouvrit doucement les yeux et tendit la main, qu’il plongea dans l’eau afin d’en ressortir doucement un lotus, dans la paume de sa main. Il observait la fleur, sentant l’eau couler entre les pans de son armure au niveau de sa main. Le chevalier regardait toujours le lotus, semblant perdu dans ses songes. Shaka semblait réfléchir à la manière de demander conseil à Athéna, ce qui n'était pas chose aisé.... Il allait encore la déranger pour rien et cela le gênait quelque peu... Shaka sentit soudain le cosmos de la déesse arriver dans son temple. Doucement, il reposa la fleur dans l'eau. Avant de se lever et de fermer à nouveau ses yeux. Au moins, il ne la verrait pas "directement". Enfin si il n’avait pas la tentation d’ouvrire les yeux comme à chaque fois qu’il était en sa présence.

Il sortit de sa chambre et referma la porte avant de s'avancer vers Athèna.

Shaka : Pardonnez-moi de vous avoir dérangé princesse. Mais je suis dans cette situation depuis quelques temps déjà et…. Enfin votre sagesse m'aiderais sans doute beaucoup à trouver une solution.

Athéna vit Shaka arriver à elle, les yeux clos, ce qu'elle trouvait dommage car elle aimait à les voir sans vraiment en comprendre la raison. Elle le vit s'approcher et s'excuser de l'avoir déranger. Elle avait passé sa nuit à penser à la soirée d’hier en sa compagnie lorsqu’il l’avait convoquée elle en avait été très heureuse et l’idée qu’il puisse penser qu’il la dérangeait l’attristait un peu mais il ne pensait vraiment pas à mal il voulait juste être sur de ne pas l’importuner en cet heure matinal.

Athéna : Rassurez-vous je n'avais rien à faire et si je peux vous aider en quelque façon que je sois j'en serais ravie.

Il se détourna, préférant ne pas rester en face d'elle. Il avait toujours du mal à parler de lui et de ses problèmes, n'étant pas habituer à devoir demander conseil. Après tout c’est lui que l’on venait voir pour les conseils d’ordinaire et non lui qui en demandait à quelqu’un. Athéna fut certes quelque peu déçus de lui voir tourner le dos mais elle comprenait qu’il ne devait pas lui être facile de s’ouvrir ainsi à elle. C’était évident qu’il le faisait pour la première fois.

Shaka : Depuis un petit moment, lorsque je me retrouve en face d'une certaine personne… je me sens mal à l'aise, je ne sais pas quoi faire face à elle et… j'ai peur d'agir mal avec elle ou de la blesser involontairement par un geste... Le problème c’est que je ne sais pas pourquoi je suis subitement ainsi alors qu'avant tout allait bien.

Athéna : Hé bien à mon humble avis le mieux que vous puissez faire c’est de rester vous-même en toute circonstance. Maintenant si cette personne ne vous laisse pas indifférente peut-être devriez-vous envisager de parler avec elle à « cœur ouvert » dirons-nous. Si vous avez effectivement peur de la blesser par un quelconque geste ou alors une quelconque parole je pense que c’est le mieux à faire. Athéna était surprise de ses paroles elle ne pensait pas qu’il l’avait fait venir pour une question personnelle mais elle en était ravie bien qu’inconsciemment la peur de découvrir qui était cette personne la tenaillait plus que tout.

Agir comme avant… C’était une solution, mais tant qu’Il ne connaîtrait pas les raisons qui le pousse à être ainsi, il ne pourrait pas maîtriser ses réactions et c’est justement cela qui lui posait le problème. Il se rappelait que trop bien la première fois qu’il l’avait vue alors qu’il n’aurait pas due, c’est là qu’il avait sentit les premiers troubles. A la limite, il n’aurait qu’à effacer ces sentiments ou plutôt ses impressions de malaise et le problème serait résolu, mais encore fallait-il savoir à quel moment il devait le faire! Voilà qui n’était pas chose aisé. Cela arrivait n’importe où et n’importe quand. Shaka devrait alors sans doute trouver lui-même cette réponse et cela allait être bien difficile pour lui… Surtout qu’il ne comprenait rien à cela.

Shaka : Rester moi-même….Oui, vous avez sans doute raison…

Cependant, les quelques paroles de sa déesse firent naître un fin sourire sur son visage, voilà qui était bien rare chez lui. Shaka ne pouvait pas en parler avec cette personne c’était tout simplement impossible… Il ne pouvait pas se permettre de parler ainsi à «cœur ouvert» si l’on puis dire.

Shaka : Essayer de comprendre avec elle… Je ne le peux tout simplement pas, cela serait lui manquer de respect puisqu’elle n’est pas n’importe qui. En plus je me dois de rester à ma place et justement de ne pas l’importuner. Enfin peut-être que le temps apportera la réponse à ce que je ne comprends pas….qui sait?

Il posa sa main sur une colonne non loin, son léger sourire ne l’ayant pas quitté. Il tourna son visage vers elle et ouvrit doucement les yeux pour la voir réellement cette fois. Il n(‘avait pas pu résister elle était la seule à pouvoir lui faire ouvrir les yeux ainsi même ses compagnons n’avait pas ce «privilège» si s’en était un de le voir ouvrir les yeux. Athéna au parole du chevalier elle commençait à comprendre certaine chose ce qui fit naître sans qu'elle puisse l'en empêcher des rougeurs sur ses joues, ainsi qu’un merveilleux sourire sur ses lèvres. Elle vit ses yeux s'ouvrirent pour la regarder et ne pue encore une fois en détacher son regard.

Athéna : Je ne pense pas que vous puissiez lui manquer de respect en étant sincère avec elle. Au contraire cela prouve que vous la respecter... Et qui sais les réponses pourrait venir plus vite que vous ne le croyez en lui en faisant part. N'oubliez pas que même si elle a un rôle important tout comme vous en avez un, vous restez tout deux des êtres humains.

Shaka regardait la déesse de la sagesse, depuis qu’il avait ouvert les yeux, il l’avait vu rougir, ce qui était assez étrange. Cela le fit sourire, c’était la première fois qu’il voyait une telle réaction chez quelqu’un parce qu’il ouvrait simplement les yeux. En même temps elle était la seule femme à avoir vu son regard… non pas réellement la seule femme mais l’une des seule à les avoir vu.

Shaka : Etre sincère… Ainsi vous pensez qu’elle ne m’en voudra pas… Pourtant j’en doute encore, mais c’est vrai que je me dois d’être honnête avec elle.

Shaka se sentait gêné. Il regrettait à présent d’avoir demandé à lui parler, sentant qu’il s’enlisait encore plus dans ce problème, mais bon, le mal était fait, il fallait maintenant qu’il aille jusqu’au bout. Il se retourna et s’approcha d’Athéna pour lui faire face. Elle le vit s’approcher et ne bougea pas l’attendant calmement. Il avait encore des choses à dire elle le savait c’est pourquoi elle ne dit rien attendant.

Shaka : Vous avez raison, je vous dois la vérité en tant que chevalier ayant fait serment
Athéna. Cette personne vous la connaissez … même très bien je pense, puisque c’est de vous qu’il s’agit. C’est pourquoi j’aimerais comprendre les raisons de ce malaise. Je ne vous est pourtant vu que peu de fois alors je suis perplexe.

A SUIVRE…

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VII LE TEMPS DES REPONSES... UN AVEUX.

Athéna rougit un peu gênée mais elle l’avait devinée au vu de ses paroles. Elle resta un temps silencieuse avant de se décider à lui répondre elle ne voulait pas qu’il croit que cet aveux la perturbait enfin si sa la perturbait mais elle en était quelque part heureuse.

Athéna : Pourquoi devrais-je vous en vouloir Shaka, il n’y a aucune raison pour ça de plus je comprends que vous cherchiez à savoir ce qui provoque ses malaises en ma présence d’autant que vous ne m’avez vu qu’hier au bal.

Shaka revit l’image de la déesse nue se baignant dans le lac et ne pu s’empêcher de rougir sur le coup ce qui surpris Athéna. Elle ne l’avait pas vu ainsi depuis qu’elle l’observait jamais elle ne l’avait vue rougir. Cela paraissait bien étrange.

Shaka : A vrai dire… Ce n’est pas exacte je… vous avais vu une fois auparavant…

Athéna (surprise) : Quand ça je ne quittait presque jamais mon temple !

Shaka (gêné) : Ce jours-là vous étiez au lac…

Comprenant le sens de ses paroles elle devint encore plus rouge si c’était possible et bafouilla une vague réponse en faite c’était plutôt une monosyllabe.

Athéna : Oh…

Shaka se confondit en excuse il avait un air réellement contrit et elle ne doutait pas de sa sincérité.

Shaka : Pardonnez-moi j’ai été attiré par votre chant et… je vous ais entre aperçue… Je sais que je n’aurais pas due veuillez m’excuser.

Elle mis quelques minutes avant de reprendre une certaine contenance le voyant gênée elle esquissa un léger sourire.

Athéna : Ne vous excusez pas… Ce n’ai pas la peine et puis je vous ais si souvent vu lors de vos méditations dans les jardins de la vierge qui donne sur la fenêtre de ma chambre que je ne peu vous en vouloir… d’ailleurs Les arbres de Sara sont magnifique en fleur... leur pétales grâce au vent parvienne jusqu'en mon temple... et se mêles à ceux des roses qui jonchent mes jardins...

Shaka fut surpris des paroles de la déesse, ainsi elle s’amusait à l’observer que se soit dans son temple ou dans son jardin et ce depuis le Sanctuaire. Il sourit étrangement de cet état de fait.

Shaka : Ainsi vous m’observiez pendant mes méditations….J’ignorais que j’étais un sujet si intéressant pour vous… Mais vous avez raison, les fleurs de Sara sont magnifiques, surtout en ce moment puisqu’ils sont en pleine floraison…..

C’était d’ailleurs à cette époque de l’année que Shaka aimait le plus méditer, ses fleurs étant ouvertes et laissant une délicate odeur flotter sur la brise. C’était agréable de se reposer au milieu de ce jardin de paradis. Il en était le premier à le dire et à en profiter ce qui était normale.

Athéna (gênée) : Ma fenêtre de chambre donne sur vos jardins... Ne pouvant sortir de mon temple par ordre de Shion, j'aimais bien regarder au dehors... Voir ce qui se passait et puis ses jardins sont magnifiques sa me permettait de me sentir sereine. J’avais dans ses moments une impression de liberté. Mais je reconnaît que je vous y est quasiment toujours vu à ses moment-là...

Shaka : Alors nous sommes à égalité si l’on puis dire.

Il lui sourit et elle fit de même. Oui sauf que pour elle ce n’était pas une fois mais presque tout les jours. Elle se demandait si il allait enfin lui révéler le contenu de ses troubles où est-ce qu’il allait s’en tenir là pour le moment. Elle attendait qu’il se décide.

Astrée n’avait pas quittée sa chambre encore troublée du baiser que lui avait donné le chevalier du Bélier. Elle sentit le cosmos de sa sœur près de celui du saint de la vierge et sourit tristement. Elle allait se brûler les ailes mais que pouvait-elle y faire elle ne l’écouterait pas assurément. La connaissant sa serait encore une discussion dans le vent et des éclats de voix et cela ne leur plaisait guère ni l’une ni l’autre. Astrée alla profiter de la roseraie de sa sœur calmement. Elle effleura les roses un fin sourire sur les lèvres, toute à sa contemplation de ses splendides fleurs, elle ne sentit pas le chevalier d’or du Bélier se glisser près d’elle.

Mü : Bonjour altesse…

Astrée (surprise) : Bon… Bonjour chevalier.

Un fin sourire étira les lèvres de Mü elle était aussi belle qu’hier même dans la lumière du soleil pourtant la lune lui allait mieux.

Mü : Nimbée dans la lumière de lune c’est là que votre véritable beauté ressort Déesse.

Elle rougit violemment sous se compliment et bafouilla un vague remerciement très peu audible ce qui ne fit qu’accentuer le sourire de son compagnon. Il voyait avec ravissement l’effet de ses mots sur la jeune déesse et cela l’amusait quelque peu mais ce n’était en rien une moquerie.

Astrée : Si vous êtes venue voir ma sœur elle est sortie. Le saint de la vierge avait besoin de l’entretenir en privé il me semble.

Mü : En faite je souhaitais vous voir vous… je voulais m’excusez pour mon gestes d’hier soir… je sais que je n’aurais pas due.

A se souvenir elle rougit d’autant plus si c’était possible.

Astrée : ce n’est rien… c’est oublié… Je ne vous en es pas tenue rigueur rassurez-vous.

Mü : Je vous en suis reconnaissant déesse Puis-je vous proposez ma compagnie pour une visite des jardins du sanctuaire.

Il lui tendit son bras en souriant. Astrée mis un temps avant d’accepter son bras et de le suivre elle avait attendue sa venue même si elle s’en cachait fort bien. Une promenade dans le sanctuaire ne lui ferait pas de mal et peut-être cela l’aiderait à mettre un peu au claire ses idées qui sait.

Astrée : Pourquoi prenez-vous du temps pour venir me voir chevalier…

Mü : Parce que votre présence m’est agréable tout simplement et que vous êtes un hôte de marque en ce sanctuaire. C’est aussi un peu mon devoir de veiller à ce que vous soyez le mieux possible pendant votre séjour ici.

Astrée : Je vois… cela se tient

Elle ne chercha pas plus loin et affichait malgré ses émotions cette éternel allure droite voir glaciale et se masque froid sur le visage. Mais le Bélier y était habitué et cela ne le gênait guère au contraire cela le fascinait davantage encore.

Mü : J’espère que cette ballade vous fera du bien princesse.

Astrée : Merci en tout cas ses jardins ont tous l’air splendide.

Mü la conduisit sur toute la surface de jardin du sanctuaire chaque endroit était un petit paradis à lui seul et émerveillait la jeune déesse. Même si ce n’était qu’intérieurement. Mü s’en doutait plus ou moins et ne dit donc rien à se sujet. Ils continuèrent donc la promenade jusqu’à revenir à la roseraie d’Athéna.

A SUIVRE……

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VIII A DEMI MOT…

Shaka était assis en tailleur, les yeux clos, les mains posées sur ses genoux, il observait ce qui se passait autour de lui, son cosmos l'entourant, faisant voler des pétales de lotus autour de lui doucement alors qu'il se concentrait. Il entendit des pas et reconnu le cosmos de la personne qui approchait. Il lui sembla reconnaître la déesse Athéna, il ne lui avait pas parlé depuis ce fameux jour où ils avaient eut un entretien et ne savait pas vraiment quoi faire.... Devait-il partir ou attendre ici qu’elle arrive qu’elle était la solution la plus sage. Non pour lui mais pour ELLE. Il voulait la protéger et il ne savait pas comment agir après cet « aveux » Bien qu’il ne lui est pas dit ouvertement de quel trouble il s’agissait il avait tout de même parlé trop mais il ne pouvait mentir à sa déesse et il le savait fort bien. Elle s'approcha lentement de lui et plutôt timidement. Elle ne savait pas quoi lui dire mais elle devait se rendre à l'évidence elle n’était pas rester intacte de cette entrevue… de cet aveux qu’ils avaient échangé pour ainsi dire. Elle arriva devant le chevalier alors que son cosmos était plutôt troublé.

Athéna : Bon… jour chevalier…

Shaka sentait bien que le cosmos de la princesse était troublé. Si elle savait…. le sien était exactement semblable, mais lui avait appris à masquer son cosmos pour ne pas qu’il transmette ses émotions. A ses paroles il se releva et s’inclina devant elle en s’agenouillant avec déférence comme son rang l’imposait.

Shaka : Bonjour Athéna.

Il ouvrit doucement les yeux pour les poser sur elle et la regarder avec douceur. Il ne cherchait plus à lutter il ne pouvait s’empêcher d’ouvrir les yeux face à elle maintenant il entre percevait les raisons de ce geste même si il les savaient injustifiée. Voir même interdit ! Il en était tout à fait conscient mais ne pouvait pas s’en empêcher il avait fallu qu’il la rencontre pour que toute ses certitudes semble fondre comme neige au soleil. Lorsqu'elle vit ses yeux se poser sur elle, ses joues se pourprèrent d’un léger rouge et un fin sourire se dessina sur ses lèvres couleur rosée. Elle le regardait doucement puis n'aimant pas qu'il reste incliné ainsi face à elle.

Athéna : relevez-vous...

Il sourit doucement de la voir rougir, cela lui allait encore mieux. Il obéit lorsqu'elle lui demanda de se relever et lui fit ainsi face. Il n’avait pas lâcher son regard bleuté du sien.

Shaka (inquiet) : Vous semblez gênée princesse vous allez bien ?

Athéna : euh non.... sa va c'est juste que je ne voudrais pas... vous avoir... dérangé....

Elle lui sourit doucement le rouge pourprant toujours ses joues. Elle ne savait pas quoi lui dire à présent. Cela lui semblait tellement improbable tout ça elle n’aurait jamais pensée à se retrouver dans une situation pareil. Et il en allait de même pour le jeune chevalier.

Athéna : Vous méditiez.... peut-être vouliez-vous rester... seul.

Shaka : Vous ne me dérangerez jamais déesse rassurez-vous.

Il lui sourit pour appuyer ses paroles et tendit doucement sa main pour la poser sur sa joue. Se simple geste il le fit sans pouvoir réellement s’en empêcher il ne cherchait vraiment plus à comprendre ou à rester raisonnable en sa présence bien qu’il sache qu’il aurait fallut qu’il le face.

Shaka : Vous le savez non?

Rougissante elle posa sa main sur la sienne doucement. Ce contacte était si doux elle en profita.

Athéna : je le sais... mais je préfère en être sur.

Elle lui sourit angélique sans le quitter du regard un instant. Elle ne pouvait s’empêcher de se perdre dans l’azur de ses yeux.

Athéna : tout est calme par ici....

Son sourire s'accentua lorsqu'elle posa sa main sur la sienne. Il ne s’y attendait pas et pourtant il en était heureux il aimait se simple contacte de leur main étrangement.

Shaka : Oui c'est pour cela que j'aime y venir, le calme me permet de mieux me concentrer. Et puis l’avancée est souvent déserte alors de temps à autre je viens ici au lieux de rester dans les jardins de la Vierge.

Il ne bougeait pas et l'observait, cela faisait un moment qu'il ne l'avait pas vu, mais elle lui semblait toujours aussi belle. Un moment ? il sourit intérieurement sa ne faisait jamais que deux jours mais sa lui semblait une éternité. Durant ses deux jours il n’avait pas non plus vue la déesse de la nuit ni le grand Pope. Sûrement qu’ils avaient certaine chose à voir tout les trois pour ne pas s’être montré.

Athéna : Oui c'est compréhensible... l'agitation n'est pas toujours plaisante si l'on souhaite se concentrer. Surtout pour la méditation je pense.

Elle rougit encore plus en comprenant qu'il la détaillait mais elle aimait qu'il la regarde avec cette douceur qu'elle ressentait .Et puis il ouvrait les yeux en face d'elle ce qui était très rare en général. En faite il n’y avait vraiment que lorsqu’elle était en sa compagnie qu’elle le voyait ouvrire les yeux.

Athéna : Pourquoi me regarder vous ... ainsi.... Quelque chose ne va pas ?

Shaka : En effet.

Le jeune chevalier comprenait que c’était lui qui la faisait ainsi rougit et cela l’amusait un peu. Il ne pensait pas qu’elle réagirait ainsi simplement par un regard , surtout qu’il ne la touchait même pas! Enfin à part sa main. Il sourit à sa question et s’approcha plus prêt d’elle doucement il ne voulait pas l’effrayer.

Shaka (souriant) : Parce que vous êtes très belle déesse tout simplement.

Athéna : merci..

Elle avait laissé sa main sur celle du jeune homme. Elle ,e voulait pas rompre ce doux contacte tout de suite.

Athéna : Il est rare de vous voir conserver les yeux ouvert.... Serait-ce de mon fait...

Cela l'amusait beaucoup dans un sens elle savait bien qu'il n'ouvrait les yeux que pour une seule raison enfin c’est ce qu’il lui semblait car en dépit qu’elle ne l’ais vu que très peu de fois pour l’avoir observé du haut de sa fenêtre elle savait bien que même ses compagnons d’arme ne voyait jamais ses yeux.

Il sourit et posa doucement son front contre le sien. Leur lèvres était à quelques centimètres les unes des autres et il pouvait sentir le souffle chaud de la jeune fille sur les siennes. A cet instant il aurait due se reculer pour éviter de ne faire à plus long terme une erreur qui pourrait bien les blesser tout deux mais il n’en fit rien.

Shaka : Je vous en prie.

Sa question le fit sourire. doucement, il ferma les yeux. Comme pour la provoquer toutefois il ne bougea pas d’un pouce.

Shaka : Peut-être préférez-vous que je les fermes..

Shaka souriait, s'amusant ainsi avec elle. Il attendait de voir sa réaction mais il se doutait plus ou moins qu’il les rouvriraient sous peu car il ne pouvait pas se passer de l’admirer. Lorsqu'il lui dit qu'il pouvait les fermer elle sourit doucement.

Athéna : ce n’est pas ça mais j’ai remarqué que mise à lorsque nous sommes tout les deux vous ne les conserviez jamais ouvert alors je me posait la question tout simplement. Je me trompe ?

Shaka : Non vous ne vous trompez pas vous êtes la seule sauf les ennemis mais ceux qui les voient ne sont plus ici pour en témoigner.

Il sentit Athéna poser sa main sur sa joue et il la prit dans la sienne pour déposer un baiser sur sa paume. La jeune déesse frémit sous ce simple contacte de ses lèvres sur sa peau. Doucement elle rapprocha plus son visage du jeune homme jusqu'à l'effleurer. Il vit son visage se rapprocher et son sourire devint plus tendre. Puis il approcha ses lèvres de celle de la jeune fille les posant doucement sur les siennes.

A SUIVRE……………

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IX UNE REALITE INFINIMENT PLUS BLESSANTE

Athéna ferma les yeux lorsqu'il posa ses lèvres sur les siennes. Elle les lui tendit timidement tout d’abord puis elle passa ses bras autour de son cou doucement. Shaka sourit et glissa ses bras doucement autour d'elle pour l'attirer contre lui avec douceur. Il se doutait qu’il aurait due ne jamais l’embrasser, qu’il aurait du se détacher d’elle mais toute sa raison et sa sagesse fondait comme neige au soleil face à la jeune déesse. Il se pencha et prit de nouveau ses lèvres avec douceur. il goûtait doucement ses lèvres, la tenant serrée contre lui comme une chose précieuse. Elle se laissa faire goûtant elle aussi les lèvres du jeune chevalier. Il se détacha d’elle doucement et sourit de façon angélique quelque peu gêné de son audace mais sa avait été si doux et il devait se l’avouer il en avait eu envie et ce depuis longtemps. Tout aussi rouge Athéna lui sourit timidement elle aussi en avait eue envie mais elle n’osait pas l’avouer de peur de faire une erreur.

Shaka se demanda si il ne l’avait pas blessé....Peut-être pas physiquement c'était sur puisqu’elle lui souriait timidement.... Mais qui lui disait que moralement, en elle, il n'allait pas briser quelque chose par ce geste.... C’est vrai rien ne lui assurait, mais rien ne lui assurait le contraire non plus. Il devait bien reconnaître que ce contact avait été très doux, très léger également. Il ne trouvait pas de comparaison ou de sensation égale à cela, de toute façon cela aurait été vain puisque rien n'était comparable à ça.

Un long moment après, Shaka se recula doucement, se détachant quelque peu de la déesse, son regard accrochant le sien.

Shaka : Pardonnez-moi.... j’espère ne pas… vous avoir incommodé… par mon acte…

Athéna lui rendit son baiser timidement puis lorsqu'il se détacha et lui parla elle posa un doigt sur ses lèvres pour le faire taire en souriant doucement elle entrevoyait les raisons de ses mots.

Athéna : Il n’est point besoin de vous excusez Shaka.

Elle lui sourit et retira doucement son doigt des lèvres du jeune chevalier. Elle était encore rêveuse de ce contacte mais elle essayait de ne pas trop le montrer elle ne voulait pas l'embarrasser. Shaka sentit les doigts de la déesse se poser sur sa bouche. Il ferma les yeux et acquiesça, lui montrant qu’il avait compris. Mais il avait préféré s’excuser. Il ne savait pas comment elle le prendrait et n’avait fait que son devoir en lui demandant pardon. Doucement, il prit ses mains dans les siennes et les serra.

Shaka : J’espère que ma conduite n’aura pas de répercussion sur vous…

Il la regarda un instant et l’attira doucement contre lui pour refermer ses bras autour d’elle avant de fermer les yeux. Et voilà comment on pouvait oublier en quelques instants les principes de toute une vie. Tout ce qu’il espérait, c’est que si quelque un était à blâmer, Athéna ne soit pas cette personne, mais que cela soit lui. Après tout c’est lui qui l’avait embrassé en premier.

Athéna : Qu’elle répercussion voulez-vous que sa ais sur moi ?

Shaka : Hé bien les dieux pourrait s’en prendre à vous parce que… j’ai agit de manière incorrecte envers vous.

Athéna : Vous n’avez pas été incorrecte Shaka.

Shaka : Vous savez bien que si… Car elle n’à aucune raison d’être. N’aurais-je pas tort de trop m’attacher à vous? J’ai peur de mal faire….Voir de négliger mon devoir de chevalier… De me laisser gouverner par ma volonté au lieu de ma réflexion. Et plus que tout laisser mes sentiments à votre égard prendre le dessus et causer la perte de tous…

Athéna le regardait en silence, le teint rosée à présent. Elle savait ce qui lui faisait peur dans tout ça et elle savait que c'était justifié par certains égard mais elle ne croyait pas qu'il puisse agir ainsi il était trop sage pour oublier son devoir. Mais quelque part ses paroles la rassurait il éprouvait quelque chose pour elle et cela la rendait à la fois très heureuse mais aussi très triste.

Athéna : Aucune raison d’être… On ne choisit pas vous le savez bien Shaka… Et je ne pense pas que cet état de fait vous empêche de faire votre devoir vous êtes bien trop sage…

Shaka : Trop sage… si c’était le cas je cesserais cette folie et je vous dirais de rentrer à votre temple pour ne pas faire d’erreur… Enfin pour ne pas risquer d’en faire encore une.

Athéna : Vous n’avez fait aucune erreur… L’erreur n’est pas pour nous mais pour ceux qui ne comprenne pas ce que sais qu’avoir des sentiments envers quelqu’un.

Shaka : C'est vrai.... mais où cela va t'il nous mener...

Athéna : Je ne sais pas.... ou cela va nous mener... mais une chose est sur faire comme si rien ne s’était passé m’est impossible.

Shaka : Moi non plus je ne peux pas le faire. J’espère juste que vous ne serez pas en danger à cause de ce qui c’est passé. Si quelqu’un doit payer ce qui c’est passé je préfère que sa soit moi plutôt que vous Athéna.

Athéna : Ne dite pas ça ! Je ne supporterait pas qu’il s’en prenne à vous !

Shaka sourit et embrassa le creux de sa main avant de l’attirer contre lui pour la serrer dans ses bras.

Shaka : Ils en aurait tout les droits… Après tout un chevalier est en dessous d’un dieux et il se doit de le servir et de veiller sur lui et non de l’aimer vous le savez princesse. Deux choses les opposes : D’une part le rang d’autre part le serment qu’à prononcé le chevalier en recevant son armure. Les sentiments peuvent l’empêcher de mener à bien sa mission car aveuglé par son amour il n’agira pas de façon raisonnée.

Il ne détachait pas son regard d’elle. Elle le laissa embrasser la paume de sa main et l’écouta elle savait tout ça et sa lui faisait mal très mal au fond d’elle mais elle le savait depuis le départ. Tout tait joué d’avance un chevalier et une déesse ne pouvait être ensemble l’amour entre eux était impossible elle s’était blessée les ailes seule.

Athéna : Je sais tout ça… je le savais avant même de me rendre compte que… que je vous aimais mais j’ai voulu croire qu’il y avait une chance… Mais je me rends compte que des qu’ils seront au courant je vous mettrais en danger…

Shaka : Moi aussi si j’avais été plus sage je vous aurais éloigné avant de vous avoir dit que je vous aimait je ne veux pas vous voir souffrire à cause de ça… De plus savoir que juste parce que j’éprouve pour vous de l’amour les Dieux s’en prendrait à vous m’est intolérable !

Shaka ne bougeait pas, la regardant avec plaisir, elle était si belle… Il ne pouvait ignorer qu’elle était une déesse, sa beauté parlait pour elle! Il posa doucement sa main sur sa joue mais sentit que quelque chose n’allait pas. Son cosmos semblait troublé, inquiet. Doucement, il glissa un doigt sous son menton et redressa son visage. Elle semblait triste et il se doutait bien pourquoi mais il n’y pouvait rien à présent. Elle posa sa main sur celle de Shaka qui tenait encore la sienne depuis qu’il y avait déposé un baiser et la garda dans la sienne.. Il entremêla doucement ses doigts aux siens. Ils profitaient de ce moment de répit que leur offrait le temps.

Astrée restait dans le temple de sa sœur passant son temps dans la roseraie de celle-ci elle se demandait encore ou avait pu passer sa sœur elle allait devoir lui parler sérieusement même si c’était au risque de se disputer avec sa sœur elle devait la protéger d’une éventuel souffrance face à la situation mais n’était-il pas déjà trop tard ?

A SUIVRE…..

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X UNE SIMPLE ERREUR ?

Une femme vêtue d’une longue robe noire en soie à longue manche qui dénudait ses épaules, errait sur les chemins de la roseraie du temple de la déesse Athéna. Astrée avait les yeux fermés, laissant ses longs cheveux noirs voler autour de son visage, porté par la brise marine qui provenait d’Athènes. Elle tournait en rond en attendant sa sœur qui n’était toujours pas réapparue c’était à se demander si elle ne perdait pas la raison elle ne se souciait nullement de ce qui l’entourait et faisait ce que bon lui semblait pourtant elle la savait digne de sa tâche malgré son jeune âge. Mais elle ne pouvait s’empêcher d’être inquiète pour elle, son insouciance était peut-être à l’heure actuel son seule point faible avec ses sentiments qui n’avait pas lieu d’être.

Regagnant son temple, Athéna restait pensive à ce qui s’était dit sur l’avancée du sanctuaire entre elle et le Saint de la Vierge. Elle ressentait encore la chaleur des lèvres de son chevalier sur les siennes. Un voile de douce mélancolie passa dans son regard bleuté avant de s’effacer n’en laissant plus aucune trace tout comme dans son cosmos. Rien ne changerait cet état de fait : Elle était Déesse et lui chevalier sous ses ordres, il ne pouvait y avoir d’amour entre eux s’était contre toute les règles en vigueur de la chevalerie et des dieux. Pénétrant dans sa roseraie, Athéna la remonta, un sourire fin déposé sur ses lèvres. Elle cueillit une splendide Rose bleue qu’elle porta à ses lèvres. Elle appréciait cette fleur si belle et si envoûtante autant qu’elle pouvait être blessante et dangereuse voir mortelle... Un contraste parfait qui attirait l’attention de bien des hommes. Tenant toujours sa rose à ses lèvres elle avança plus dans les jardins de son temple jusqu’à y voir sa sœur faisant les cent pas.

Athéna : Astrée ?

Entendant la voix de sa sœur Astrée laissa échapper un soupire de soulagement elle s’était enfin décidée à revenir au temple ce n’était pas trop tôt. Elle se retourna la jugeant toujours de son regard froid elle affichait toujours cette tenue froide et détachée, car elle estimait que les sentiments ne devait être offert à la vue de tous et puis une déesse se devait de se montrer intransigeante et autoritaire comme n’importe quel autre dieux.

Astrée : Te voilà enfin… Tu peux me dire à quoi tu joue avec le Chevalier d’Or de la Vierge !

Athéna(mal à l’aise) : Mais de quoi tu parles je ne joue à rien avec lui.

Astrée : Ne me prends pas pour une idiote Athéna ! Depuis le bal tu passes quasiment tout ton temps avec lui et ne me dit pas le contraire je le sais très bien vos cosmos sont toujours ensemble. De plus même si tu essaie de me le cacher je vois très bien ce qui se passe !

Athéna (soupira) : Non je ne démentirais pas le fait que je suis souvent en sa compagnie… Mais il n’y a rien de spéciale à dire là-dessus.

Astrée : Tu t’es entichée de l’un de tes chevaliers mais il n’y a pas de quoi s’inquiéter !!! mais à quoi tu penses Athéna ! Tu sais ce qui va se passer lorsque Père le sera hein !

Athéna : Oui !!! Je le sais mais qu’y puis-je… Je te promet qu’il ne c’est rien passé et de toute façon je sais bien que c’est impossible…

Astrée : Athéna… Tu dois oublier ça tout de suite je t’en pris écoute-moi pour une fois. Je ne veux pas te voir souffrire inutilement si ce n’est pas déjà fait…

Athéna : Je regrette Astrée… C’est trop tard… Beaucoup trop tard…

Mü sortit de son temple et remonta ceux de ses compagnons jusqu’à rejoindre celui de la Vierge, il fallait qu’il s’entretienne avec Shaka de toute urgence. Il le trouverait certainement près des arbres jumeaux de Sara en train de méditer. En effet il y était, Mü se demandait comment il pouvait rester aussi calme sans que rien ne perturbe son cosmos malgré ce qu’il se passait. Il s’approcha de lui doucement.

Mü : Shaka je peux te parler… C’est important.

Shaka (toujours les yeux fermé) : Bien sur Mü… Tu veux qu’on ailles en intérieur pour en parler.

Mü : Oui je préférerait…

Il se releva et le conduisit jusque dans son temple pour parler. Une fois à l’intérieur ils s’installèrent de façon à être à l’aise pour parler. Comme à so,n habitude Shaka se mis en tailleur sur son lotus, au centre de la salle principale du temple alors que Mü avait pris place sur les quelques coussins posés non loin du lotus. Shaka regarda son compagnon sans pour autant ouvrir les yeux et décida de ne pas attendre qu’il se décide à parler mais plutôt l’inviter à commencer sans plus de préambule.

Shaka : Bien je t’écoute Mü

Mü : Voilà si c’est à toi que je viens en parler, c’est pour la simple et bonne raison que tu es bien le seul qui puisse me comprendre… Du moins pour le moment. C’est au sujet de la déesse de la nuit… J’éprouve pour elle quelque chose de très fort… Je sais bien que c’est interdit voir même proscrit et ceux de par mon rang inférieur au sien et je ne sais pas comment agir pour ne pas la compromettre…

Shaka comprenait bien son compagnon pour être dans la même situation quoiqu’un peu plus complexe car même si sa avait été à mi mot ils s’étaient tout deux déclarés. Cela lui fit repenser à la douceur de lèvres de sa déesse, il se secoua intérieurement il ne devait plus y penser.

Shaka : Je vois… Tu en es amoureux mais tu te refuses de le lui dire à cause de son statue de déesse c’est bien ça.

Mü : Oui c’est bien ça… Et toi Shaka n’éprouves-tu aucun sentiment de ce genre ?

Mü savait bien que Shaka répondrait par l‘affirmative du moins il le pensait si ce qu’il avait cru voir lors de ce bal était vérifié. Shaka redressa doucement son visage vers son frère d’arme et le regarda, les yeux toujours clos, sa question ne le surprenait pas tellement, il se doutait bien qu’un jour on le lui demanderait. Il avait cependant toujours ses yeux clos et consentit à répondre.

Shaka : Je peux bien te le dire… A toi, oui je suis moi aussi amoureux et c’est aussi d’une déesse. Et avant que tu ne me le demande oui, il s’agit bien de notre déesse Athéna. Pour tout t’avouer je ne sais pas ce qui a fait que j’en suis tombé amoureux, mais lorsqu’elle s’est réincarnée et que je l’ai entre aperçue… Alors qu’elle se baignait à l’écart des regards indiscret et même sans savoir qui elle était j’ai été fasciné … Je ne sais pas vraiment comment c’est arrivé mais j’ai été comme envoûté, elle était magnifique. A vrai dire je crois qu’inconsciemment à cet instant je l’aimais déjà et puis il a fallu cet apparition au bal pour que je sache qui elle était... Bien entendu je ne lui ai rien dit à ce moment- là , lui dire aurait été la condamner à un sentiment qui la ferait souffrir, ce à quoi je me refusais. Cependant lorsque je me suis aperçue de ses sentiments… J’ai voulu comprendre et je lui est demandé de me rejoindre. Nous avons ainsi parlé un moment et puis se matin… C’est à mi-mot que je lui est dit… Elle aussi d’ailleurs… Mais toi tu as ce problème en moins, car même si elle est déesse, ce n’est pas celle que tu protèges.

Mü : je vois… Donc elle est au courant et elle aussi éprouve ce genre de sentiment envers toi… Cela risque fort de ne pas vous laisser indemne simplement à cause de ses lois. Oui tu as raison j’ai un problème en moins mais Astrée à un caractère froid sa ne facilite pas non plus les choses tu sais.

Shaka (souriant) : Là tu n’as pas tort c’est une impasse pour toi comme pour moi… Néanmoins je pense que tu te dois d’être franc avec elle sa prouvera au moins que tu la respecte. Même si nous savons tout deux que les dieux ne toléreront pas de tel sentiments je ne pense pas que mentire à Astrée soit souhaitable.

Mü : Tu as sans doute raison pourtant je me dis que si elle ignorait elle souffrirait moins mais peut-être ais-je tort là-dessus aussi. Et toi que comptes-tu faire pour Athéna ?

Shaka : Que veux-tu que je fasse… Mü, mais il faut comprendre qu’elle a seulement 16 ans, et que sa jeunesse peut la rendre assez insouciante… Enfin, elle peut en venir à oublier son devoir malgré qu’elle soit très sérieuse, de plus savoir qu’on aime sans pouvoir ni toucher, ni approcher l’âtre aimé, je pense que c’est déjà assez douloureux comme ça, autant pour elle que pour moi. Je me dois avant tout de la protéger. Même si cela signifie que je doivent laisser mes sentiments de côté et souffrir en silence il n’y à qu’elle qui compte pour moi et c’est bien là le problème…

Mü : Tu tiens donc tellement à elle pour en arriver là ?

Shaka : Oui… Je n’aurais jamais cru pouvoir aimer ainsi ni même pouvoir aimer tout court… Sa m’était interdit du moins c’est ce qu’il me semblait en tant que réincarnation de Bouddha. J’ai beau avoir un statut de demi-dieux je ne suis pas son égal…

Mü : Oui c’est vrai… Mais tu ne me feras pas croire que sa ne te coûtera pas de feindre l'indifférence à son égard, de ne pas pouvoir l’avoir dans tes bras lorsque tu en ressentirais le besoin… Je te connaît bien pour savoir que tu n’en sortiras pas non plus indemne… Certes tu es le seul d’entre nous à pouvoir annihiler tes propres sentiments et ceux des autres mais cette technique à un point faible. Un simple choc peu en supprimer les effets et alors là ta souffrance reviendrait peut-être deux fois plus forte…

Shaka : Je sais que cela n’est pas sans risque pour moi… Il est vrai que je pourrais aussi user de mes pouvoirs pour oublier ce sentiment mais tu as raison le moindre choc me les rendraient aussitôt. Ensuite tu sais très bien que la mort ne me fait pas peur, je ne la crains pas et si je dois périr dans un combat pour sauver ma déesse au côté de mes frères d’armes je ne pourrais souhaiter mieux. Si jamais les Dieux apprenaient qu’elle c’est amouraché de l’un de ses chevaliers et que celui-ci éprouve lui aussi quelque chose envers sa déesse alors il se pourrait qu’il veuille me tuer… Je l’accepterais si sa pouvait permettre qu’Athéna soit mise hors de cause. Je ne me préoccupe donc que d’elle, ce qui est pour moi un avantage, l’amour a ce drôle de pouvoir de supprimer toute considération pour soi afin de sauvegarder l’autre, de veiller sur l’autre même si cette personne ne vous voit pas. Je sais bien qu’elle me voit comme moi je la vois mais c’est impossible. Nous le savons tout deux, alors je serais son ombre et veillerais sur elle jusqu’à à la fin c’est tout ce que je peux faire… Vraiment tout.

Mü comprenait son frère d’arme mais il doutait qu’il puissent rester bien longtemps loin de celle qu’il aime et si jamais cela arrivait il serait prêt à l’aider du mieux qu’il pourrait car s’était son ami, son frère et qu’il le comprenait que trop même si la situation différait à certains égard.

Mü : Tu sais je l’ai embrassée se soir là… J’espère ne pas l’avoir froissée. Elle n’a rien dit et elle est partie dans le temple se fondant dans l’obscurité de la nuit…

Shaka : Tu n’as pas perdue trop de temps ! ceci dit je te comprend… moi même je l’ai… embrassé… mais elle n’a pas fuit… Elle est restée. Je craint de n’avoir fait une erreur en cet instant…

Mü (étonné) : Pourquoi aurait-ce été une erreur ? Tu as juste laissé parlé tes sentiments ce n’est pas une erreur Shaka c’est humain tout simplement.

Shaka (souriant) : Oui tu as raison… Ce n’étais pas une erreur mais probablement le plus doux de tout les instants et peut-être bien le dernier…

A SUIVRE…………..

Admin Nombre de messages : 2624 Age : 37 Date d'inscription : 12/03/2008

XI PRELUDE AU COMMENCEMENT.

Athéna était allongée dans sa chambre, sur son lit elle n’osait pas sortir se rappelant de sa discussion avec sa sœur. Elle n’en voulait pas à Astrée de lui avoir parlé comme elle l’avait fait, elle avait raison malgré cet air froid qu’elle se donnait elle la savait sensible et très inquiète pour elle.

Flash Back

Astrée : Tu es avant tout la réincarnation d'une déesse! alors soit digne de ton rang! une déesse n'a pas a aimer un mortel!

Athéna (en larme) : Oui je sais tout ça !!! Mais qu’y puis-je !!! Si je l’aime ! Je n’ai rien demandé alors cesse d’enfoncer le couteau dans la plaie tu veux !!! Je me fiche de ses lois tu entends je hais ses lois !!! Je n’en veux pas !!!!

Astrée : Comment oses-tu parler comme ça! Tu te rends compte de ce que tu es en train de dire Athéna !

Athéna : Oui je le sais ! Et je n’ais pas honte de l’aimer quoiqu’en dira le Panthéon. Je l’aime ! Dis-moi que tu me comprends !!! Je t’en pris Astrée !!!!

Astrée affichait toujours cette attitude froide et glaciale. Voir sa sœur ainsi elle n’aimait pas ça mais elle faisait ça pour son bien, pour la protéger… Oh oui elle la comprenait même très bien, mais elle ne pouvait pas le lui dire. Ca ne l’aiderait pas plus de le savoir elle devait la convaincre de faire cesser cette folie qui les détruirait un peu plus à chaque fois… A chaque instant.

Astrée : Un humain même chevalier ne pourra jamais aller avec un dieu! Et toi tu es et resteras avant tout une déesse !!! Il est ton serviteur et il ne pourra jamais… Non jamais être ton amant ! Ne confond pas les deux!

Athéna : Je ne confond rien du tout ! Mais je suis incapable d’oublier…

Astrée : Tu le devras Athéna… Tu le devras de grés ou de force !

Athéna : JAMAIS !!!! Je ne serais jamais leur pantin tu entends !

Astrée : Silence! tu feras ce qui t'es ordonner! Cesse ses enfantillages Athéna ce sont nos lois tu dois t’y conformer juste ou non ! Tu es la déesse de la justice dirigée par les dieux. Il suffit de te comporte comme une idiote!!! Je cherche a te faire revenir à la raison. Tu es une déesse avant tout! Ecoute moi pour une fois c’est pour ton bien que je te dit tout ça !

Athéna : Je le sais bien… je le sais bien…

Elle s’était effondrée sur son lit et Astrée l’avait laissée seule elle n’était pas spécialement fière d’elle mais elle avait agit pour son bien.

Astrée (en pensée) : Pardon… pardonne-moi Athéna… Mais je veux vous protéger je ne l’ais fait que pour te préserver ma chère sœur…

Fin de Flash Back.

Soupirant Athéna se mis à la fenêtre. Elle avait versée innombrables larmes mais s’était nécessaire sa sœur avait parlé sagement, elle le savait mais elle n’en supportait pas les conséquences c’était plus fort qu’elle. Shaka méditait dans ses jardins calmement il repensait à sa discussion de la Veille avec Mü, il soupira lui aussi était dans le même engrenage que lui, seulement l’un avait pour problème la froideur apparente de sa compagne, l’autre le statue de celle-ci. Il Se replongea dans cette discussion du moins dans une partie peut-être la partie la pus importante de celle-ci.

Flash Back

Shaka : Je ne lui dirais jamais plus… Même à mi-mot que je l’aime se serait la perdre… Plus sûrement qu’autre chose, mon unique but est de la protéger… Quoiqu’il m’en coûte je dois l’éloigner de moi.

Mü : Tu es sur de toi? Tu y as bien réfléchie ne vas-tu pas le regretter plus tard ?

Shaka : Non.... Ou plutôt si, c'est la seule solution que j'ai....

Mü voyant les larmes de Shaka couler fut quelque peu étonné, il ne l’avait jamais vu ainsi auparavant non jamais. Il ne se laissait jamais aller devant qui que se soit jusqu’à présent mais là il avait craqué comme tout à chacun il avait eu une faiblesse.

Mü : Tu es bien humain…. C'est la première fois que je te vois pleurer ainsi. Ton calme apparent ne serait dissimuler ce que tu éprouves pour elle…

Mü laissa seul son compagnon après ça il en avait besoin, il le comprenait que trop. Shaka à force de pleurer s’était endormie dans un sommeil dénué de rêve.

Fin du Flash Back

Le soleil effleurait ses cheveux couleur d’or avant d’aller toucher ses joues. Shaka se releva et rentra dans son temple pour aller regagner sa chambre, son regard bleuté restait clos, il n’avait nullement besoin d’ouvrir les yeux pour voir la disposition de sa chambre. Dans le coin droit, au fond, divers coussins de soie était posé sur le sol, un drap de couleur rouge vif brodé d’or au-dessus d'eux et une tenture de tulle rouge sombre l’entourant, laissa une simple ouverture. C’était là qu’il dormait. Contrairement aux autres, ces simples coussins lui suffisaient, il n’avait pas besoin de lit. Dans le coin opposé, il y avait un creux dans le sol en arc de cercle aux plusieurs poissons nageaient dans l’eau clair, quelques lotus flottant paisiblement à la surface. Près de l’angle de la porte, se trouvait la commode et l’armoire qui contenait ses vêtements. Malgré que ses yeux soit fermé il visualisait mentalement sa chambre se rappelant de chaque détail. Il se défit de son armure qui se reforma dans un coin de sa chambre le laissant vêtu uniquement de sa tenue de sous-armure de couleur violet.
Shaka se demandait ou était Athéna, il chercha son cosmos et eue la surprise de le trouver calme et paisible. Paisible? Non étrangement il le savait bien elle n’allait pas si bien que ça il aurait aimer ne pas la laisser dans cette état là, aller la rejoindre pour lui dire tout ce qu’il pouvait ressentir pour elle mais cette phrase qu’il avait dit à Mü résonnait encore dans son inconscient. « Je ne lui dirais jamais plus même à mi mot que je l’aime se serait la perdre… Quoiqu’il m’en coûte je dois l’éloigner de moi…. L’éloignez de moi.. de moi de moi…»
Il porta ses mains à sa tête et laissa un cri de désespoir lui échapper. Un cris déchirant voir effrayant venant de lui.

Shaka : SA SUFFIIIIIIIIT JE N’EN PEUX PLUS !!!! ASSEEEEEEEEEEEEEEZ !

Sentant le trouble grandissant dans le cosmos de son frère d’Arme Mü se précipita vers lui et le vit au sol il semblait vraiment mal cela le troubla de le voir ainsi lui si calme et si « maître de ses sentiments » il n’avait en face de lui qu’un enfant perdue à présent… Un enfant perdue et blessé comme jamais. Mü s’approcha et l’aida à se redresser calmement.

Mü : Allez vient Shaka rentrons… Tu dois te reposer un peu.

Shaka ne résista pas et se laissa ramener dans sa chambre par son frère d’Arme. Athéna avait ressentit que quelque chose n’allait pas dans le cosmos de Shaka sa lui avait brisé le cœur mais y aller n’était peut-être pas la bonne solution que devait-elle faire ? Restez ici ou courir le voir.. Obéire à sa sœur ou bien à son cœur… Une fois qu’il eut couché Shaka, Mü s’assit près de lui, son ami n’avait dit mot.

Mü : Tu vas te détruire Shaka… Tu es sur de ne pas vouloir changé d’avis. Tu ne crois pas qu’elle souffrira de te voir dans cet état. Répond moi ! REAGIT !!!

Shaka : … Non… Je ne peux pas être… Egoïste… Comprends-moi !

Mü : Je te comprends… Mais je sais que te voir te détruire ainsi la détruira encore plus… Et je sais que ce n’est pas ce que tu cherches… Et te détruire ainsi n’aide en rien les choses…

A SUIVRE………..

Admin Nombre de messages : 2624 Age : 37 Date d'inscription : 12/03/2008

XII UN REVIREMENT ?

Shaka : Je le sais Mü mais que faire ! Jamais les Dieux n’accepteront une tel relation… En plus si Astrée s’en est aperçue et bien qu’elle adore sa sœur je doute qu’elle le prenne bien tu sais. Il est fort probable que les dieux ne laisse pas un simple mortel, même chevalier s’approcher d’une déesse…

Mü : Pour ce qui est de la déesse de la nuit je suis de ton avis quoi que je pense que si elle feint de ne pas l’accepter c’est surtout pour protéger Athéna et lui éviter de trop souffrire par la suite. Et pour ce qui est des autres dieux c’est autre chose…

Shaka ne bougeait pas il n’en pouvait plus s’était bien la première fois qu’il était dans un tel état et cela inquiétait beaucoup Mü. Shaka lui était toujours apparu comme le plus calme et le plus avisé de ses frères d’arme. Il n’oubliait pas qu’il était homme et qu’il avait lui aussi le droit de craquer mais pour la première fois il le voyait aussi frêle qu’un enfant , fragile et perdu et cela l’inquiétait car il ne savait pas comment l’aider.
Mü (en pensée) : Shaka tu n’apprécieras peut-être pas ce que je m’apprête à faire mais j’espère que tu comprendra que je l’aurait fait pour toi. Elle est la seule à pouvoir te faire refaire surface…

Mü voyant que Shaka semblait se reposer il demanda à Marine d’aller faire prévenir la déesse Athéna. Marine y alla rapidement et chercha sa déesse, celle-ci était dans les jardins. Marine s’approcha rapidement d’elle Mü avait semblé pressé et Marine se doutait qu’il y avait une bonne raison à cet état.

Marine : Déesse Athéna.

Athéna : Ah ! c’est toi marine quelque chose ne va pas ?

Marine : Mü m’a demandé de venir vous chercher princesse. Il faut me suivre…

Athéna : Bien je te suis Marine. Il c’est passé quelque chose de grave ?

Marine : Je… n’en sais rien mais il vous attend dans le temple de la vierge.

Athéna (surprise) : Dans la sixième maison. Bon allons-y je verrais de quoi il en retourne sur place.

Suivit d’Athéna Marine retourna au temple de la vierge et la conduisit dans l’entrée ou était Mü. Elle les salua et sortit pour rejoindre les autres dans l’arène.

Mü : Athéna bonjour. Merci d’être venue si vite.

Athéna : Bonjour Mü ce n’est rien mais que se passe-t-il pour que vous me fassiez appeler ici ?

Mü : Suivez-moi je dois vous montrer quelque chose princesse.

Il l’invita à le suivre et l’emmena jusque dans la chambre du saint de la vierge. Celui-ci était prostré sur son lit comme un enfant en proie a des cauchemars cela l’inquiéta et lui fit mal. Elle commençait à entrevoir les raisons de sa venue mais pourrait-elle l’aider elle en doutait. Elle se détacha de cette vue et regarda Mü.

Athéna : Que c’est-il passé ? Pourquoi Shaka est-il dans cet état…. Dite le moi il est toujours si calme et maître de lui même mais là il semble si perdue et il à l’air de souffrire… Le voir ainsi me glace le sang.

Mü : Je m’en doute princesse… A vrai dire je ne sais pas ce qui c’est réellement passé mais j’ai pu parler un peu avec lui et je sais ce qui le ronge… N’en avez-vous pas une petite idée princesse ?

Athéna frémit si elle s’en doutait un peu elle aussi était mal de cette situation surtout depuis la discussion avec sa sœur. Elle suivit le chevalier du Bélier lorsque celui-ci l’invita à aller discuter à l’écart de la chambre du saint de la vierge.

Athéna : si… Je m’en doutes… mais je n’aurais jamais cru que cela le mènerait dans un tel état… Le voir ainsi c’est bien la première fois…

Mü : Athéna si je vous ais fait venir c’est parce qu’il à besoin de vous. Vous êtes la seule à pouvoir l’aider à reprendre le dessus.

Athéna (triste) : Je suis désolé Mü mais… Sa m’est impossible… Je suis la cause de son état je craint d’empirer les choses et si ma sœur apprends que je suis revenue ici j’aurais des problèmes… Je vous en pris aidez-le vous…

Mü : Vous êtes la seule à pouvoir l’aider il vous aime au point de s’éloignez de vous et regarder ou sa la mené !

Athéna : Que croyez-vous ! Que je l’ignore ! Je l’aime ! Oh oui je l’aime mais on ne me le permettra pas je ne veux pas le détruire plus comprenez-moi…

Mü : Je le sais bien déesse mais il à vraiment besoin de vous. Aidez-le au moins à reprendre le dessus et après vous choisirez ce que vous ferez… Ensemble. Je vous en pris… Je sais combien c’est dur pour vous princesse mais si vous ne l’aidez pas j’ai peur que son état n’empire…

Athéna : Très bien… Je tient trop à lui pour le voir ainsi mais je vous en pris n’en dite rien à ma sœur je ne veux pas qu’elle s’inquiète davantage pour moi et qu’elle pense que je ne l’écoute pas !

Il sourit et quitta le jeune femme qui alla dans la chambre de Shaka. Elle ferma doucement la porte et alla s’asseoir près du jeune homme. Il était recroquevillé sur lui-même, Athéna approcha sa main de son visage et caressa ses cheveux comme on l’aurait fait avec un enfant. Cela lui faisait si mal de le voir ainsi.

Athéna (pleurant): Shaka… regarde moi je t’en pris… Ouvre les yeux j’ai tant besoin de les voir… Je m’en veux tellement si je n’était pas ce que j’étais tu ne serais pas dans cet état. C’est de ma faute… Pardon !

Athéna s’affaissa contre lui laissant ses larmes coulée sur la main du jeune homme. Sa tête était tout contre son compagnon. Il sembla réagir.

Shaka : athé...na! Tu n’es pas responsable… Ne t’en veux pas… Le seul fautif c’est moi… Je n’arrive pas à me tenir à ma décision… je ne sais même plus si c’est la meilleure solution… Pour toi.

Entendant Shaka elle releva son visage et caressa sa joue doucement. Il tenait doucement son autre main serrée dans la sienne.

Athéna : Ne dis pas ça ! On est deux dans cette histoire et je ne sais pas non plus qu’elle est la bonne solution mais te voir dans cette état je ne le supporte pas !

Shaka se redressa et l’attira par le poignet doucement contre lui. Combien de fois avait-il voulu le faire… De trop nombreuse fois.

Shaka : Allons calme toi mon ange… Sa ne sert à rien de te mettre dans cet état.

« Mon ange… » Voilà il le savait à présent il ne lutterait plus contre ses sentiments. S ’était peine perdue mais il se promettait de la protéger du mieux qu’il pourrait ils ne les laisserait pas la détruire ni la blessé juste parce qu’il l’aime.

Shaka : Athéna je t’… Aime…

A SUIVRE……….

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XIII Prélude à l’amour

Athéna rougit sous ses paroles, elle caressa la joue du jeune homme c’était bien la première fois qu’il lui disait ses mots et elle en était heureuse. Elle rapprocha ses lèvres de l’oreille du jeune homme et lui glissa tendrement.

Athéna : moi aussi… moi aussi je t’aime Shaka…

Elle le vit alors ouvrir les yeux pour la regarder avec tendresse, Dieu qu’elle était belle lorsque ses joues était pourprée de rouge il ne pouvait que la regardée. Doucement il porta sa main sur la joue de le jeune femme et la fit glisser jusqu’à son menton avant d’approcher doucement son visage et de parcourir les quelques mètres qui le séparait des lèvres de sa tendre compagne. Athéna fut surprise mais lorsque son compagnon l’embrassa elle ne se fit pas prier et lui répondit tendrement profitant de ce doux moment quelques instants avant de s’écarter à regret de lui caressant sa joue tendrement.

Athéna : Pardonne-moi mais… Je dois y aller autrement Astrée va encore me chercher… Sa ira ?

Shaka (souriant) : Je comprends Athéna il vaut mieux que tu ailles la rejoindre. Oui sa va mieux je t’assure et c’est grâce à toi.

Athéna : C’est à Mü que tu devras dire merci…

Shaka : Mü ? Pourquoi ça ?

Athéna : Parce que si je suis venue ici c’est parce qu’il m’a fait quérir et qu’il ma convaincu de rester avec toi… Il s’inquiétait beaucoup tu sais.

Shaka : je vais aller le voir et le remercier… Je te vois se soir au bal ou pas ?

Athéna : Je ne sais pas tout dépendra si Astrée veux y aller ou pas. J’y vais à présent.

Elle se leva du lit et quitta la chambre du jeune homme puis son temple pour regagner la sienne. Elle devait convaincre sa sœur de venir à cet soirée elle voulait être avec Shaka se soir mais comment convaincre sa sœur d’y aller. Elle y arriverait il le fallait. Elle quitta sa chambre pour celle de sa sœur et frappa à la porte de celle-ci.

Athéna : Astrée je peux entrer.

Astrée : Entre Athéna.

Elle pénétra dans la chambre et referma la porte derrière elle. Sa sœur était assise sur son lit et semblait rêvassée plus que d’habitude. Elle esquissa un léger sourire sa sœur était rarement perdue ainsi dans ses songes il ne pouvait s’agir que d’une chose…

Athéna : Astrée si on allait à la fête de ce soir… Elle se déroule dans la maison du Verseau cette fois-ci.

Astrée : Qu’elle fête ?

Athéna : Il s’agit d’un bal masqué organisé par Shion et il aimerait beaucoup que nous y assistions… alors tu décide quoi.

Astrée : euh… je n’ais rien à me mettre…

Athéna : C’est qu’un détail j’ai déjà ce qu’il nous faut.

Astrée : euh....je sais pas si....c'et une bonne idée...je m'habille toujours en noir...c'est pas très joyeux pour une fête...

Athéna : C’est un bal masqué tout est permis et puis tu seras pas en noir cette fois-ci… Allez allons-y sa nous changera les idées.

Astrée : Bon… d’accord si sa peu te faire plaisir on ira.

Athéna sourit elle avait réussit à convaincre sa sœur d’y aller maintenant restait à savoir si Mü irait mais elle ne doutait pas qu’il y serait en compagnie de Shaka donc c’était parfait. Sa sœur lui en voudrait peut-être mais ce n’est pas en rêvassant dans sa chambre que les choses évoluerait.

Athéna : Bien alors rejoint moi dans ma chambre tout à l’heure.

Elle sortit sans attendre la réponse de sa sœur. Fouillant dans son armoire Athéna sortit deux tenue parfaitement identique. Elle déposa soigneusement les deux toges antiques de couleur nacre sur le lit et chercha ensuite les deux loups de velours noir qui allait avec les robes. Les robes était faite dans de la soie fine et s’attachait sur l’épaule gauche laissant un long morceaux de tissus couler comme des voiles sur le bras et rattaché à la main par un fin anneau d’or blanc. L’un des pans de la robe était relevé et remontait jusqu’à la taille tout en étant maintenue par une fibule de couleur or, dévoilant ainsi l’une des jambes fine de sa porteuse. Astrée rejoignit sa sœur quelques temps plus tard afin de se préparer pour la fête. Elle se demandait encore si elle avait bien fait de céder à sa sœur ses chevaliers seraient sans doute tous là mais elle ne pouvait pas dire non à sa sœur maintenant. Entrant dans la chambre elle vit les tenues choisit par Athéna.

Astrée : Je porte du noir habituellement…

Athéna : Une petite note de couleur de temps à autre ne fais pas de mal Astrée tu sais. Allez change toi.

Astrée et Athéna enfilèrent leur robe calmement avant de l’ajuster correctement sur elles.

Astrée : Et notre cosmos ils vont savoir qui on est tu y as pensé !

Athéna : Il y a juste à masquer notre cosmos comme tout le monde le fait lors de ses bals. Tu sais sa ne paraîtra pas bizarre.

Astrée : Sa va pas paraître étrange des jumelles ?

Athéna : le but c’est de surprendre dans ce genre de bal Astrée.

Astrée : mouais…

Athéna entraîna sa sœur vers le lit et la fit s’y asseoir. Elle lui fit une coiffure antique à l’image de celle des nymphes célestes et y piqua de splendide roses blanche avec une bleu au milieu puis elle se fit la même coiffure avant de ceindre à son front et à celui de sa sœur, une splendide larme de grenat sur une chaîne d’or fin. Les roses blanche contrastait somptueusement avec la couleur brune de leur chevelure. Elle s’occupa ensuite de faire ressortir la couleur de leur yeux avec un léger très noir qui remontait quelque peu vers le haut, elle appliqua un peu de rouge à lèvre rouge sur leur lèvres le délimitant avec un fin trait de crayon rosé. Puis elle tendit à sa sœur son loup de couleur noir à sa sœur puis mis le sien devant ses yeux. Prenant sa sœur par la main elles se dirigèrent vers la maison du Verseau.

Shaka était vêtue d’une magnifique tenue antique rappelant celle d’Apollon, il était accompagné de Mü, qui avait opté pour une tenue antique ressemblant à celle d’Abel. Les jeune filles firent leur entrée dans la temple et cela ne passa pas inaperçue, tout les regards étaient fixée sur elle. Elles s’arrêtèrent un peu gênée avant que leur regard n’accrochent imperceptiblement ceux de deux jeunes chevalier qui était non loin des escaliers qu’elles n’avaient pas encore descendue. Shaka et Mü les regardèrent et se jetèrent un regard entendue avant de s’approcher des deux jeunes beautés qui descendait avec grâce et prestance les escaliers. Shaka s’avança vers Athéna qui sentit son cœur s’emballer lorsqu’il s’inclina légèrement et qu’il lui tendit la main. Elle regarda sa sœur qui avait déjà acceptée celle de Mü et posa silencieusement sa main dans celle du jeune homme avant de ne le suivre.

A SUIVRE…………….

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XIV Qu’importe la tempête…

Shaka l'attira contre lui avec douceur avant de commencer la danse en silence, en sentant la présence des déesses il avait ouvert immédiatement les yeux et les avaient posée sur Athéna il n’avait pas eue de mal à la reconnaître malgré que les deux sœur était identique en cette soirée. Il la faisait danser doucement puis la serra plus contre lui. Athéna rougit quelque peu mais un fin sourire était sur ses lèvres elle était contente d’être serrée contre lui et de pouvoir danser avec lui comme se soir là.

Athéna : Comment as-tu su que s’était moi… Astrée est vêtue de la même façon pourtant.

Shaka : il faut être stupide pour ne pas le voir tes yeux sont beaucoup plus claire que les siens je n’ai eue donc aucun mal, Mü non plus d’ailleurs.

Athéna : je vois …

Shaka : Cela te sembles si étonnant que ça ?

Athéna : ce n’est pas que sa m’étonne c’est juste que je ne pensais pas que vous aviez observé toute ses différences entre elle et moi.

Shaka (sourit) : c’est normale qu’on observe ainsi la personne que l’on chérit le plus non ?

Athéna (rougissante) : peut-être…

Shaka : Tu veux aller faire un tour dehors ?

Athéna : Oui je veux bien.

Ils interrompirent leur danse et partirent dans les jardins. Alors qu’ils avançaient jusqu’à un banc qui se trouvaient parmi les roses, Shaka ôta doucement le masque de la jeune femme et sourit doucement elle était si belle nimbée dans la lumière opaline de lune.

Shaka : Tu es si belle Athéna…

Athéna (rougissante) : merci.

Ils se promenèrent longuement dehors avant de retourner dans la salle de bal. Etant un peu fatiguée, Athéna se fit raccompagnée par Shaka jusqu’à son temple. Celui-ci allait la laisser après l’avoir reconduite jusqu’à sa chambre lorsqu’elle le retint doucement.

Athéna : reste encore un peu… s’il te plait…

Shaka : Très bien.

Elle l’attira dans sa chambre et referma la porte avant d’aller se vêtir d’une fine robe de lin blanc pour la nuit. Shaka l’attendit près de la fenêtre et l’admira même dans cette simple robe elle était divine. Il la rejoignit et s’assit près d’elle sur le lit caressant ses cheveux doucement. Athéna se blottit contre lui il s’allongea et la posa sur son torse caressant tendrement son dos pour l’apaiser. Elle s’accrocha à son cou le regardant tendrement. Il sourit et déposa ses lèvres sur les siennes. L'attire contre lui sans lâcher ses lèvres puis glisse ses mains sous sa robe pour caresser ses jambes, glissant ainsi ses lèvres dans son cou. Athéna fut surprise et laissa échapper un soupire d’aise en sentant ses mains sur ses jambes. Elle glissa ses mains dans les pans de la chemise de Shaka parcourant timidement les lignes courbes des muscles du jeune chevalier.

Shaka (soupirant) : Athéna…. Je ne sais si.... C’est… Raisonnable…

Il glissa sa langue contre la sienne, posant ses mains dans son dos pour la coller contre lui même si il savait qu’il aurait due se détacher d’elle. Il ne pouvait lui faire ça… Se serait la perdre encore plus mais au contacte de son corps il devenait fou.

Athéna : mmm… Je sais… Mais j’en est… Envie…

Shaka : Moi aussi…

Athéna caressa doucement sa joue il soupira et pris fiévreusement ses lèvres contre les siennes. Il laissa sa langue aller caresser celle de sa compagne tendrement la pressant plus contre lui ses mains caressait toujours la peau d’albâtre de sa compagne. Elle frémissait contre lui et lui répondait tendrement. Il soupirait doucement et fit glisser ses mains sur ses hanches avant qu’elles ne glissent dans le creux de ses reins pour la coller plus à lui encore. Timidement elle défit les boutons de sa chemise pour la lui retirer. Doucement il la fit glissé sous lui et laissa ses mains repartirent sur ses jambes fines. Athéna l’embrassait doucement.

Athéna se détacha doucement de Shaka et se leva du lit, Rouge elle défit le lien de sa robe et la fit choire à ses pieds, elle était sur de ce qu’elle voulait mais lui le voulait-il elle l’ignorait. Elle ne bougea pas restant nue et offerte à sa vue. Il l’embrassa doucement lorsqu’elle le fit, mais il la sentit se lever ne comprenant pas il la suivit du regard. Sa respiration se bloqua en voyant ses gestes et il resta muet en la voyant en tenue d’Eve. Il déglutit et se leva. Il fallait qu’il garde toute sa tête et qu’il parle calmement, sinon ils allaient à leur perte à cause de lui! Seulement voilà il ne voulait pas résister il l’aimait trop pour lui résister surtout si elle s’offrait ainsi à lui. Il prit son visage dans ses mains et la regarda.

Shaka : Tu en es vraiment sûre….Il va nous falloir oublier ce que nous ressentons lorsque nous ne serons pas seul….Cela sera très dur après… Mais avec une nuit ensemble cela ne sera que plus douloureux…… Est-ce que tu te sens capable d’endurer cela.

Athéna : Je sais… mais je t’aime tant…

Shaka sourit doucement et la souleva dans ses bras, l'allongeant délicatement sur le lit avant de déposer un baiser sur son front, il s'éloigna et alla fermer la porte à clé avant de tirer les rideaux et de revenir près d'elle. Il avait tamiser la chambre leur offrant une douce intimité romantique. Elle le laissa faire en souriant doucement et l'attendit toujours un peu rouge d'avoir eu l'audace de se mettre à nue elle-même face à lui. Cela ne lui ressemblait vraiment pas. Il se défit de son pantalon et s’allongea doucement sur elle. Elle l'observa il était si beau. Elle lui répondit fiévreusement se collant tout contre lui. Il posa ses mains sur ses reins, ses lèvres allant goûter son épaule et son cou puis sa gorge avant d’atterrir sur sa poitrine.

A SUIVRE………..

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XV UN MOMENT MERVEILLEUX

Dans la chambre d’à côté, Astrée avait elle aussi entraîné Mü à l’intérieur de sa chambre. La même scène se jouait, les mêmes émotions ce même besoin de découvrire le corps de l’autre. La même envie de redécouvrire la chaleur procurée par le contacte de la peau de l’autre. Ses sensations délicieuses et douce mais au combien étrangère pour elles deux… mais aussi pour les jeunes chevaliers.

Astrée était à présent nue sous Mü, le teint légèrement rosée de se montrer ainsi au jeune homme. Celui-ci laissait ses mains glisser sur les contours de la peau de la jeune femme ses lèvres gardant captive les siennes délicieusement. Astrée se blottissait contre lui, timidement elle laissa ses mains dessiner les courbes des muscles de Mü se cambrant contre lui sous ses caresses qu’elle ne connaissait pas. Elle se laissait petit à petit envelopper par la chaleur provoquée par la proximité de ce corps d’homme qui laissait des empruntes brûlante sur sa peau. Laissant échapper un soupir Astrée murmure.

Astrée : Mü… il ne faut… Pas…

Mü : Je sais… Ce n'est pas.. Prudent.

Astrée cèdent à ses sentiments et reprend ses lèvres, glissant ainsi sa langue contre celle de Mû qui quelque peu surpris ne mis pas bien longtemps à lui répondre il ne voulait pas lutter sa ne servait à rien plus depuis qu’il lui avait dit ses sentiments. Comme à son habitude elle était restée froide elle avait voulu le protéger en l’éloignant et il avait due bataillé. Et voilà à présent il la tenait dans ses bras et vivait un des plus beau moment de sa vie et probablement il n’en doutait pas il serait sûrement l’un des seuls moment comme celui là qu’ils vivraient ensemble.

Astrée était nue sous son compagnon son visage empourpré, elle glissa doucement une de ses mains entre les pans de la chemise de Mü… Qui retint son souffle, incapable d’articuler un mot la voir ainsi offerte et à la fois entreprenante le troublait grandement. Elle déposa de petits baisers dans son cou alors que son autre main descendait de plus en plus timidement vers le bas-ventre du jeune homme qui soupira et frémit de son contacte qui le consumait grandement. Elle se redressa doucement et captura ses lèvres en collant son corps au sien, il put sentir ainsi le corps de sa compagne contre son torse.

Ce contacte l’électrisait de plus en plus.. N’en supportant pas davantage Mü referma ses bras autour d’Astrée avant de parsemer doucement son corps de caresse à l’aide de ses lèvres. Ses lèvres glissèrent sur la poitrine de sa compagne qu’il dégusta avec appétit et douceur. Elle se cambra et gémit doucement rouge de ce sentir ainsi soupirer face à ses gestes. Mü sourit doucement et l’embrassa avec douceur. Elle lui répondit se collant étroitement à lui. Mü se détacha doucement de la jeune femme afin de se dévêtir avant de retourner s’allonger près d’elle.

Mü : Tu es sur de toi… Tu ne le regretteras pas ?

Astrée : Non… La seule chose que je regrette c’est d’avoir voulu t’éloigner de moi… j’ai tant besoin de toi Mü….

La jeune femme n’eut pas le temps d’en dire plus que déjà le Saint du Bélier s’allongeait sur elle, collant son corps si finement sculpté au sien. Elle sentit de nouveau une chaleur diffuse la brûler au niveau de son bas-ventre. Sans attendre, il prit possession de ses lèvres une nouvelle fois. Ses mains se firent caresse sur sa peau fine d’albâtre. Il enferma les seins de sa compagne dans le creux de ses paumes en dévorant son cou de petits baisers. Elle laissa échapper un gémissement, les mains du jeune chevalier glissèrent jusqu’à son ventre, ses lèvres suivirent la ligne de sa gorge avant de se refermer avec passion sur la pointe de ses seins. Astrée se cambra et sentit sa poitrine se tendre sous ses lèvres qui embrassaient passionnément et avec fièvre la peau si sensible de sa gorge. Il lui susurra aux creux de l’oreille d’une voix rendue rauque par le désir.

Mü : Tu es si belle ma jolie déesse…

Astrée vira au rouge écrevisse au vue de ses paroles. Il al trouvait belle mais elle ne se sentait pas ainsi. Elle ne voyait rien qui pouvait plaire dans ce corps peut-être à cause de ce passé qu’elle espérait oublier. Mais elles avait qu’il ne lui mentait pas seulement pourrait-il accepter son corps lorsqu’il apprendrait ce qui lui était arrivé ne l’abandonnerait-il pas à cause de cela. Se trouvant stupide elle se laissa aller à ses douces tortures pour le moment elle était belle et bien dans ses bras rien d’autre ne comptait. Non rien d’autre que sa peau contre la sienne.

Mü : Je t’aime mon papillon de nuit.

Astrée (rouge) : Moi aussi je t’aime… mon chevalier.

Il glissa ses lèvres sur son ventre avant de parsemer l’intérieur des cuisses de la déesse de petits baisers ainsi que de caresses. Le corps d’Astrée se tendit violemment et elle laissa échapper un long gémissement de plaisir. C’était si bon !Même si elle n’y connaissait rien, Elle laissa échapper un cri d’extase et en même temps de surprise lorsqu’elle sentit la langue de Mü écarter les lèvres de son sexe pour chercher le joyau de sa féminité. Il l’effleura tout d’abord de la langue, le corps de la jeune femme se tendit encore plus une pulsion électrique la secoua, elle haletait sous cette délicieuse torture et ne voulait pas que cela s’arrête. Il referma ses lèvres sur ce petit bout de chair rosé, arrachant encore un cri et un sursaut à son amante.

Astrée : Mü…Qu’est-ce que tu… me fais….

Mü (sourit) : tu me rends fou…
Il y égara une nouvelle fois ses lèvres, puis sa langue, qui allait et venait entre ses cuisses, traçant de celle-ci presque insolemment l’entrée du sexe de sa compagne. Cela eu pour effet de lui arracher des cris de plaisir. Astrée était fébrile entre ses bras sentant quelque chose de chaud couler entre ses cuisses que son compagnon léchait avec délectation. Elle n’y connaissait rien et se demandait ce qui se passait toujours haletante sous lui. Mais comme si le supplice n’était pas suffisant, une nouvelle pulsion la secoua, Mü avait laissé sa langue s’infiltrer doucement dans les replis secret de son intimité se délectant de ce jus salée qu’il recueillait avidement sur les cuisses de la jeune déesse. Chaque mouvement de sa langue sur cette partie si sensible de l’anatomie de la jeune femme provoquait en elle des décharges de plaisir toujours plus intenses... A ce rythme là elle ne tiendrait plus longtemps bien qu’elle n’y connaisse rien toute ses sensations lui plaisait malgré la gêne qu’elle pouvait ressentir.

S’en rendant compte, Mü remonta chercher ses lèvres la sentant encore haletante et se plaça entre ses jambes. Son intimité rentra en contacte avec la peau douce de ses cuisses, Astrée vit avec gêne l’étendue du désir qu’elle pouvait provoquer chez son compagnon dont le membre était érigée de toute sa vigueur contre sa cuisse. Ce contacte était un supplice. Elle baladait timidement ses mains sur le torse du jeune homme. Il frémissait et de ses mains caressait à présent l’intérieur de ses cuisses les écartant doucement pour se rapprocher encore plus d’elle. Son sexe frôla bientôt l’antre chaude de sa compagne qui eut un léger sursaut de surprise.

Mü : Je serais très doux mon amour… aie confiance en moi.

Pour toute réponse elle l’embrassa avec passion et fièvre mêlée elle lui faisait confiance et voulait vraiment se donner pleinement à lui. Elle voulait au moins lui offrire ça ne serait-ce que se soir. A défaut d’autre chose elle pouvait au moins en cet instant se donner à lui comme preuve d’amour. Elle savait que jamais cela ne se reproduirait car les Dieux au courant ils ne laisseraient pas passé cela pour elle comme pour sa sœur. Elle sentit les cosmos de Shaka et d’Athéna liés, elle sourit doucement sa sœur aussi allait passer une nuit avec son chevalier mais comme pour elle se serait certainement la première et la dernière.

A SUIVRE…..

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XV UN MOMENT MERVEILLEUX (2)

Il descendit ses lèvres sur ses seins, les goûtant du bout des lèvres, ses mains glissant sur les cuisses de la jeune fille. Les mains du jeune chevalier caressaient les jambes de la déesse, l'une d'elle se posant entre ses cuisses, sa bouche continuant de jouer avec la pointe tendu de son sein. Athéna se cambrait contre Shaka et écarta ses jambes sous l’effet des caresses appuyées sur ses cuisses. Elle était enivrée par le désir bien qu’elle ne l’ait jamais connue jusqu’à présent. Elle parcourait le corps du jeune homme de ses mains le sentant frissonné sous ses doigts fin ce qui la confortait dans sa découverte de ce corps si parfait à ses yeux. Ni l’un ni l’autre ne se lassait de la saveur de la peau de son partenaire. Shaka reprit ses lèvres passionnément, détendant doucement son corps de ses caresses. Se laissant complètement faire Athéna s’offrait à lui alors qu’il goûtait ses lèvres encore et encore, gémissant sous ses doigts.

Il descendit ses lèvres dans son cou les glissa une fois de plus sur son ventre avant de parsemer l’intérieur de ses cuisses de petits baisers brûlant. Son corps se tendit violemment à ce contacte et elle gémit de plaisir. C’était si bon ! Elle rougit lorsqu’elle laissa échapper un cri d’extase en sentant cette intruse se frayer un chemin vers le joyau de sa féminité. Shaka l’effleura tout d’abord de sa langue par de petit coup qui arrachait inévitablement à sa tendre compagne des gémissements saccadé par le plaisir procuré. Il referma ensuite ses lèvres sur ce petit bout de chair, le happant entre ses lèvres, le cajolant de sa langue, le suçant délicieusement. Le corps de la jeune femme était brûlant, elle haletait et criait de plaisir se pinçant les lèvres afin que ses cris ne sorte pas de cette chambre.

Ses lèvres remontèrent chercher celle de sa compagne avidement buvant son souffle et muselant leur cris d’extase. L’une des mains de Shaka quitta les reins de sa compagne pour se glisser sur l’une de ses cuisses avant de doucement glisser sur l’intimité de la jeune femme. Elle avait le souffle court et haletait sous celle-ci. La main du jeune homme caressait ce point sensible entrouvrant les lèvres pour masser doucement le clitoris d’Athéna avant de glisser un doigt dans cette antre chaude. Athéna gémis contre les lèvres de Shaka et se cambra encore plus contre lui. Elle ne savait pas ce qu’il lui faisait mais étrangement elle aimait ça et ne voulait pas que cela cesse. Elles e collait indécemment à lui ondulant sous ce doigts qui allait et venait en elle de plus en plus rapidement ce qui l’excitait de plus en plus. Il retira en suite son doigt de cette antre chaude se remettant correctement sur son amante il posa son genou droit entre les cuisses de la déesse, son sexe tendu par le désir frôlant de sa pointe le pli de l’aine ,puis dans un même mouvement, il attira sa jambe gauche contre sa jumelle.

Shaka passa ensuite sa main sous un des genoux d’Athéna alors que celle-ci affermissait inconsciemment l’étreinte de sa cuisse sur les hanches de son compagnon. Athéna ne put s’empêcher d’avoir un mouvement de recul lorsqu’il pénétra ses chairs et entra avec douceur dans son corps. Il s’arrêta quand sa virilité sentit une résistance céder, puis s’enfonça un peu plus dans son intimité. Il posa sa main sur la fesse galbée et entama un mouvement de va et vient plutôt lent… il recommença une fois, deux fois… Avant que les traits de son amante se détendent… Shaka s’ensevelit de nouveau pour encore s’échapper… Les mouvements s’enchaînaient, d’avant en arrière. Plus le va et vient perdurait et plus les deux corps s'attisaient, Leur souffles se mêlant avec difficulté, leur mains tentant de se maîtriser, leur regards s’égarant l’un dans l’autre. Leur respirations saccadées laissèrent finalement la place à des soupirs d’extase. Athéna sentit petit à petit le désir s'emparer d'elle et monter au rythme doux de ses mouvements de va et vient qui s’intensifiait en même temps que son désir s'amplifiait. Grisée par ces vagues de sensations, elle exhalait délicieusement laissant ses mains se mystifier sur son compagnon pour se positionner dans son dos en de lente caresse bien qu’encore timide et qui arrachait des gémissements rauque à son amant qui sentait lui aussi le plaisir monter en lui de plus en plus.

Athéna : mmm… Sha… Shaka….

Shaka: Ou..Oui… tu me rends fou mon… ange… je t'aime

Athéna (rouge) : je t’aime aussi Shaka…

Shaka ralentit son mouvement, faisant durer ses mouvement le plus longtemps possibles pour lui donner du plaisir encore et encore ne se lassant pas de se sentir ainsi en elle. Il accentue ses mouvements, la dévorant de baisers, Athéna se laisse aller contre lui, lui répondant avec toujours plus de fièvre. Sentant le plaisir arriver le jeune homme alla plus vite, la serrant contre lui à l’étouffer son visage enfouit dans son cou.. Puis il accentua encore et encore ses caresses enflammées sans cesser de bouger son bassin puis le moment de la délivrance arriva pour eux deux. Il se coucha sur la jeune femme essoufflé un sourire doux sur les lèvres. Petit à petit leur souffle se calma et leur corps brûlant semblait s’apaiser. Shaka était encore en elle et se retira pour s’allonger à ses côtés. Elle vint se lover contre lui, il referma les bras autour de son corps caressant ses cheveux tendrement.

Shaka : Tu ne regrettes pas mon amour…

Athéna : Non… je ne regrette pas même si je sais que tout va se compliquer…

Shaka : Jamais je ne te laisserais je te le promet je t’aimes trop pour les laisser nous séparer.

Athéna : Moi aussi je t’aime mon beau chevalier…

Elle l’embrassa et laissa sa langue jouer les intruses dans la bouche de son compagnon afin d’aller titiller la sienne jouant ainsi avec elle. Shaka ne mit pas longtemps à caresser la langue de sa compagne de la même façon. Ils s’embrassèrent un long moment puis ils se détachèrent calmement l’un de l’autre dans un sourire.

Shaka : Tu devrais te reposer mon ange.

Athéna sourit et effleura ses lèvres avant de s’endormir dans les bras de son amant qui caressait ses cheveux très doucement. Il finit lui aussi par s’endormire. Dans la chambre d’à côté aussi Astrée et Mû dormait enlacés calmement les draps les couvrant jusqu’à la taille. Les deux couples avaient passé la plus belle nuit de leur vie mais ce qui restaient à venir serait plus difficile encore. Ils ne se faisaient pas d’illusion, les dieux ne laisseraient pas des déesses rester avec de simple chevaliers sans tout faire pour venger ce qu’ils considéraient comme une trahison envers eux. Que se soit les déesses ou les chevaliers aucun d’eux ne se doutait que déjà les dieux savaient ce qui s’étaient passé et que les problèmes n’allait pas tarder à commencer. Tout cela promettait grandement mais pour l’heure chacun d’eux dormait calmement dans les bras de leur amour au son calme de la respiration de l’autre.

Ce n’est qu’au levé du soleil que les deux déesses ouvrirent les yeux, elles virent avec ravissement que ce n’était pas un rêve puis qu’elles virent les bras des chevaliers autour d’elle. Effleurant leurs lèvres elles se détachèrent d’eux s’entourant d’un drap elles se postèrent à la fenêtre et observèrent le soleil se lever de leur fenêtre de chambre. Au même moment elles étaient aux même endroit comme si leurs esprits s’étaient rejoint à cet instant alors que les jeunes hommes dormaient encore. Ils se réveillèrent peu après et cherchèrent leur compagnes des yeux. Ils les virent à la fenêtre et les rejoignirent en les rejoignant avant de les enlacer tendrement déposant leur lèvres dans le cou des jeunes femmes qui abandonnèrent leur têtes sur l’épaule rassurante de leur amant. Ils restèrent ainsi un long moment avant de se retourner pour les embrasser tendrement.

A SUIVRE……………………………………

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